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mercredi 14 décembre 2016

Dans le corps de garde de Matignon, les féministes tiennent le manche

Cécile Duflot n'a pas la langue dans sa poche

Un échange de SMS, disons "savoureux", entre Cécile Duflot et son ancien camarade d'EELV, François de Rugy 

L'"investigation" est menée par Le Canard enchaîné dans un numéro de décembre 2015. Une petite semaine à peine après les incertitudes exprimées par Manuel Valls sur l'ardeur du "zizi" d'Emmanuel Macron, son ministre de l'Economie, une ambiance de vestiaire règne toujours dans les cercles politiques. Sans langue de bois...

Le Canard enchaîné fait des gorges chaudes d'un échange "entre hommes", comme sait les polir Cécile Duflot, cette fois avec son ex-camarade d'EELV François de Rugy, mis sur la place publique par le jounaliste Samir Tounsi dans son livre "Le petit dico politique de la relève". Voyons le contexte.
En mai 2015, la lune de miel entre Cécile Duflot et Jean-Luc Mélenchon s'est terminée en queue de poisson.
Dans une tribune publiée mardi 19 mai par Libération, l’ancienne ministre écologiste a pris la plume pour dire au cofondateur du Parti de gauche tout le mal qu’elle pense de son dernier ouvrage sur l’Allemagne, Le Hareng de Bismarck. En femme libérée qui entend parler "franchement", la poissarde verte a eu vite fait de monter le 'thon'. "Jean-Luc, ton Hareng, me reste en travers de la gorge", régurgita Madame Cécile. 

Le 20 mai 2015, interrogé sur cette rupture entre le candidat à la présidentielle et la refoulée d'EELV, de Rugy avait eu cette curiosité grivoise peu de mise dans la noblesse de robe : "L'idylle a été de courte durée. Je ne sais pas si le mariage a été consommé d'ailleurs, comme on dit en langue bien de chez nous."

Ce à quoi la gourgandine aurait eu un renvoi de SMS sentant fort la moule : "Tu veux savoir si je l'ai sucé ? C'est ça ?"On ne sait pas quelle a été la réaction de François Goullet de Rugy et s'il a regretté son audace. Glissons.

Derniers sursauts de vie dans l'asphyxie socialiste du parlement

A la chambre basse, les élus sont particulièrement frustrés.
En mars 2016, lors de la séance de questions au gouvernement, un député balança en plein hémicycle une remarque aussi fine que du gros rouge qui tâche. Le député Les Républicains Patrice Verchère élu du Beaujolais rebondit sur un lapsus de la ministre du Travail comme sur un lit à ressorts.  

Interrogée par la députée Marie-Louise Fort,
la ministre Myriam El Khomri, mère-porteuse de la loi Travail de Valls, a culbuté sur un mot de son intervention. Alors qu'elle parlait des ratés de communication ayant accompagné la présentation du projet de loi, elle a dit : "J'ai mené un cycle de négociations bilatérales sur toute la partie relative au temps de travail et sur le compte personnel d’activité. Je le conçois tout à fait : cette séquence a été un peu difficile. Mais prendre quinze minutes… pardon, quinze jours… témoigne d’une gouvernance ouverte soucieuse de revoir avec l’ensemble des partenaires sociaux l’intégralité de la démarche menée." 
Sur le banc du gouvernement, les femmes qui savent de quoi elles parlent, comme sa collègue Najat Vallaud-Belkacem, mère de deux enfants d'un coup, échangèrent un regard et ne se privèrent d'un sourire égrillard. Patrice Verchère a donc cru venue l'heure de la détente et lâcha : "Quinze minutes douche comprise !"

Les voyeurs de la presse jouissent un peu fort avec ceux qui en disent plus qu'ils n'en font. Peu avant, le journal satirique prompt à condamner la presse  de caniveau révélait déjà une allusion salace de Manuel Valls à l'épouse retraitée du trentenaire Emmanuel Macron.
Le 10 novembre, au micro d'Europe 1, le ministre de l'Economie avait fait part de ses craintes sur la croissance de la France pour 2016, redoutant qu'elle ne soit "atone". Une communication pas du tout du goût du chef du gouvernement qui, croisant son ministre dans les couloirs de l'Assemblée Nationale à la sortie des questions au gouvernement, lui aurait lancé : "Et ton zizi ? Il est atone ?" Une attaque sous la ceinture à laquelle Macron aurait répondu, sans se démonter : "Heureusement qu'il n'est comme la courbe du taux de croissance".

VOIR et ENTENDRE
un vigoureux agriculteur épingler le "trouillard" Manuel Valls, traité de "petit zizi"  au Salon de l'Agriculture 2015:

Mais voici l'épisode entier, 
quand Valls se mesure aux agriculteurs et quand la presse militante ne coupe pas - si petit soit-il - le morceau de bravoure :

Une obsession chez Manuel Valls qui appelle le président tunisien "Mon Zizi" !


A-t-il toute sa tête ?

L'ancien locataire de Matignon est un hyperthyroïdien 
Il est de notoriété publique que, Manuel Valls, actuel candidat à la primaire socialiste, est sujet à une transpiration excessive qui le pousse à retirer sa veste (en se donnant des airs de manager américain !), 
des tremblements de mains (voir ci-dessous la main de manu à l'Assemblée nationale):

une perte de poids malgré un appétit normal ou même accru 
et de la nervosité accompagnées de sautes d'humeur :


De grands malades ?


Aujourd’hui,
les candidats à la présidence et le président en fonction n’ont aucune obligation en matière de santé. Comme tous les salariés, ils devraient pourtant passer régulièrement des visites médicales.
Les bulletins de santé de François Mitterrand étaient tous mensongers. Après son accident vasculaire cérébral, Jacques Chirac évoquait un petit "pépin".

Aux États-Unis, en revanche, mis à part le cas alarmant de la candidate Hillary Clinton frappée par un mal étrange en cours de campagne, le président et les candidats rendent des comptes extrêmement précis sur leur état de santé. John McCain, candidat en 2008, avait communiqué 1.100 pages d’analyses médicales. Barack Obama a rendu public son bilan de cholestérol et les antécédents cancéreux de ses parents et de ses grands-parents. Il n’y a pas de loi les y obligeant, mais c’est une pratique communément admise."

Afficher l'image d'origineUn collège de médecins devrait pouvoir examiner le président de la République tous les six mois ou une fois par an. Ces médecins auraient pour obligation de remettre un rapport au président du Conseil constitutionnel s’ils détectaient une maladie grave, mentale ou physique, qui empêcherait le président d’exercer sa fonction. L'état de santé mentale doit être évoqué.
Or, dès à présent, Manuel Valls présente des symptômes inquiétants de plusieurs pathologies. Sans traitement, la maladie entraîne spontanément des complications cardiaques et psychiques (délire confusionnel, dépression).


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