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samedi 20 février 2016

Nouvelle sortie de route de Bachelot en surdosage de son vaccin anti-grippe H1N1

Le dernier coup de fièvre de l'ex-ministre recyclée dans le divertissement

Le virus H1N1 a été trouvé chez des mammifères marins
(ex. les éléphants de Mer du Nord), mais pas que...


Invitée le jeudi 18 février sur BFMTV, Roselyne Bachelot s'en est prise violemment à Nicolas Sarkozy, mis en examen par un seul des trois juges de l'affaire dite "Bygmalion". Comme s'ils étaient profondément déçus, la presse et ses adversaires au sein des Républicains continuent de l'y associer abusivement. 
Le tribunal a pourtant renoncé aux accusations d'escroquerie, complicité et recel de ces délits et, dans cette affaire, Sarkozy n'est plus que témoin assisté pour le dépassement de frais de campagne 2012, sur lesquels le Conseil constitutionnel s'est déjà prononcé et qui a été largement réglé par les militants et sympathisants du Sarkothon.
Ceux qui trouvent un intérêt politique à lui refuser la présomption d'innocence continuent de le présumer coupable, la presse militante proche du pouvoir socialiste et certain(e)s de ses adversaires, légalistes puisque parlementaires, voire anciens ministres, mais pourtant irrespectueux de la loi qu'ils font et votent ou sont censés appliquer.

"Si Nicolas Sarkozy me demandait conseil, mais je doute qu'il me le demande, je lui déconseillerais d'être candidat à cette primaire et à la présidentielle", a estimé celle qui est désormais chroniqueuse dans Le Grand 8 (groupe Canal+), invitée de la très partiale Nathalie Levy, arrivée de la radio française de Jérusalem et Radio J au côté de la franco-marocaine Ruth Elkrief (une journaliste star aux méthodes peu scrupuleuses) dans News & Compagnie (en franglais!), sur BFMTV, chaîne d'Altice et Patrick Drahi (homme d'affaires franco-israélien et cumulard de presse, également propriétaire à crédit de L'Express et L'Expansion, notamment).


Selon cette proche de Fillon, l'ex-chef de l'Etat est, comme tout candidat à une élection, "personnellement et indéfiniment responsable de ses dépenses"
, à la différence d'une ministre qui ne serait pas personnellement et indéfiniment responsable de ses 95 millions de doses de vaccin pour lutter contre la grippe A (H1N1) et du coût global de la campagne de vaccination mise en place. Un titre de gloire qui, à l'instar de Laurent Fabius impliqué dans l'affaire du sang contaminé par le virus du sida, la prédestinequi sait, à la présidence du Conseil Constitutionnel.

La gauche persiste à juger Nicolas Sarkozy coupable

Cet acharnement obsessionnel se manifeste par des titres de presse, des débats entre soi et des questions récurrentes qui distillent la suspicion. Aucun tribunal ne l'a jugé coupable de tous les soupçons qui courent sur lui, mais les polémistes partisans discutent sur des regrets: "Doit-il encore être candidat à la primaire des Républicains ?" La manipulation de ceux, nombreux, qui ne sont pas au courant, n'a pas cessé avec la décision du tribunal. Ils assurent que "c'est la question que beaucoup se posent." 

Parmi les plus malsains, 
son ancienne ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a un avis tranché sur la question, puisqu'elle soutient F. Fillon. 

François Fillon n'est pas aussi brut de décoffrage que Bianca, sa protégée. 

"Une épée de Damoclès au-dessus de la tête des candidats, c'est pas bon pour ceux qui ont cette épée de Damoclès au-dessus de la tête et puis c'est pas bon pour le climat général de la primaire" à droite, programmée en novembre 2016, a ensuite lâché François-le-fourbe, ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy, déjà en lice pour cette élection et qui, pour i-télé lors d'un déplacement en Isère, prétend ne pas vouloir jeter de l'huile sur le feu.

L'indécente amnésique a estimé que c'était avant tout une affaire "de principe," au-delà de ses démêlés avec la justice. 
L'ex-ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale de 2010 (et non politique, visiblement) s'est déchaînée, faisant parler les Français, bien qu'elle ne détienne plus aucun mandat électif depuis quatre ans et qu'elle gravite dans la sphère microcosmique des bobos branchés et délirants: "Est-ce qu'on va entendre, à un moment, le message des électeurs ? Qu'est-ce qu'ils ont redit aux dernières élections régionales ? Ils ont dit [à Nicolas Sarkozy] : 'Dégage! Dégage!' Si l'on n'est pas capable d'être ça, c'est que ça ne va pas !", s'est insurgée la Castafiore.

Le virus Zika n'a pas chômé.

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