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vendredi 11 octobre 2013

F. Hollande, boute-en-train des sommets internationaux

Quand Roland Dumas se paye François Hollande
Roland-Dumas



Nouvelliste.
Dans une remarquable émission de Radio Courtoisie intitulée « Guerre contre la Syrie : où en est-on ? », en présence notamment de Dominique Jamet, l’ancien ministre des Affaires étrangères de François Mitterrand, Roland Dumas, brossait un savoureux portrait de son complice socialiste, et néanmoins va-t-en-guerre, le président Hollande dans le contexte syrien.
M. Dumas nous explique avoir été contacté par les membres d’un comité officieux restreint (américano-anglo-francais) œuvrant activement et en cachette il y a deux ans déjà à la déstabilisation de la Syrie. Concernant la position actuelle de la France, Roland Dumas remarque que non seulement les pouvoirs publics semblent pousser à la guerre contre la Syrie mais, dit-il, « ce qui est intéressant de voir aussi, [...] est que ce n’est pas simplement les pouvoirs français officiels, c’est aussi toute la génération des bien-pensants, et notamment des médias, quand je vois les articles du journal Le Monde, quand j’écoute la télévision [...] ».
Roland Dumas me rappelle tout de même un peu ces auteurs de braquages dissimulés parmi les otages de la banque pour mieux prendre la poudre d’escampette : ces bien-pensants sont les enfants de Mitterrand, à qui nous devons par exemple un antiracisme résolument dévoyé très bien illustré par certains ministres actuels (Mme Duflot, par exemple) et dont l’insignifiance historique n’égale, hélas, que la capacité de nuisance. Ce sont vos enfants, Monsieur Dumas, assumez-les.
Voici donc le truculent portrait de François Hollande par Roland Dumas. « La position de monsieur Sarkozy n’est pas différente de celle de monsieur Hollande. Celle de monsieur Hollande, c’est encore plus fort. Elle est plus forte et si je devais [...] essayer de qualifier cette diplomatie, je l’emprunterais plutôt à l’agriculture. Vous allez comprendre. C’est plutôt la politique du boute-en-train [on dit aussi agaceur" ou "souffleur". Terme qui désignait encore un oiseau (tarin) qui servait à faire chanter les autres]. On le met devant, le boute-en-train, vous savez ce que c’est, tous les agriculteurs le savent [...] c’est-à-dire qu’il y a quelqu’un qui passe devant pour exciter la partenaire et qu’on retire au dernier moment. C’est pas agréable, comme situation. Je parle du boute-en-train (rires). Vous remarquerez que la position de la France est exactement celle-ci depuis le début. Je suis indigné, moi, par cette position. »
 [A noter que la race du Charentais a disparu...]
Moi aussi, Monsieur Dumas, je suis indigné. Nous sommes certes en démocratie, mais je n’aurais jamais voté pour le boute-en-train socialiste François Hollande. Et vous ?
Silvio Molenaar, dans Boulevard voltaire

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