POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

mercredi 14 août 2013

Frère Rebsamen fait tinter les oreilles de Valls et Hollande

François Rebsamen tacle Manuel Valls sur sa com invasive

Le sénateur-maire de Dijon  a commenté dans la presse dominicale l'hyper-activité estivale du ministre de l'Intérieur.
Un jugement lourd de sens 
Quand Le Journal du dimanche (JDD) lui demande si Manuel Valls "en fait trop cet été", François Rebsamen a une réponse toute en sous-entendus : "Disons qu'il sait être au service de sa popularité." 
Une formule assassine que le frère franc-maçon tempère aussitôt
 "C'est sa méthode et, visiblement, elle lui réussit plutôt bien." Ce n'est pas la première fois que ce proche de François Hollande villipende le ministre de l'Intérieur. 
En mai, après les émeutes qui avaient suivi la victoire du PSG, propriété du Qatar, au Trocadéro, François Rebsamen avait renvoyé dos à dos le club et la Place Beauvau. "Peut-être [les] deux", avait-il répondu à Public Sénat qui lui demandait qui était responsable des exactions.
VOIR et ENTENDRE ce compte-rendu des débordements de scènes de guérilla urbaine par des hooligans des quartiers, d'abord au Trocadéro, puis sur les Champs-Elysées:


Allusion à ceux qui ne cachent pas leurs ambitions de remplacer Jean-Marc Ayrault
Le sénateur-maire de Dijon dit aujourd'hui : "Il y a un Premier ministre, la succession n'est pas ouverte." 

Rebsamen commente également la tournée estivale de Hollande 

L'ancien secrétaire national du Parti socialiste nommé au congrès de Brest, estime que la tournée du président, placée sous le signe de l'emploi, "ce n'est pas sa tournée qui fera reculer le chômage, il le sait bien. Mais sa présence forte montre sa volonté.
À propos d'un potentiel risque si la courbe du chômage ne s'inverse pas comme le président l'a promis, François Rebsamen assure que le chef de l'État "sait le risque qu'il a pris".

Sur la politique du gouvernement, François Rebsamen fait un mea culpa au nom des socialistes
"Après dix ans loin du pouvoir et avec des ministres jeunes n'ayant pas tous l'expérience de l'État, il a fallu du temps pour se roder.
Et le sénateur-maire de lancer un message : "Nous avons péché dès le début par l'absence de pédagogie sur la situation de notre pays. [...] Ce serait bien que les ministres et le PS le fassent davantage."

Devoir de mémoire


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):