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vendredi 7 juin 2013

Clément Méric et le principal suspect étaient connus des services de renseignement, révèle la presse

L'excitation retombe brutalement à gauche

La violence extrémiste caractérise aussi la gauche
Sept personnes sont toujours en garde à vue vendredi 7 juin au matin, au lendemain de la mort de Clément Méric, militant d'extrême-gauche battu par des skinheads mercredi après-midi à Paris. Parmi les interpellés figure l'auteur "probable" du coup mortel porté au jeune homme, a annoncé Manuel Valls.
L'enquête devra déterminer le profil des auteurs des coups, et notamment leurs liens avec le groupuscule d'extrême-droite des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR).

Le préfet de police n'était-il encore au courant de rien ?

Selon M6,
l'auteur probable du coup mortel était déjà connu des services de la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) et de la DDRP (Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris). Esteban M., "un balèze d’origine espagnole"selon Libération, de type ASVP de Montreuil, serait fiché comme appartenant à un groupuscule d'extrême-droite, probablement les JNR.

Avant d'être interpellé, le jeune homme de 21 ans était sur le point de se rendre au commissariat local, à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, avec trois autres personnes dont sa petite amie, Katia V, indique le site internet de la chaîne. 
Serge Ayoub, leader des JNR, a nié vendredi toute implication de son groupe, indiquant toutefois avoir réussi à joindre les militants d'extrême-droite qui ont participé à la bagarre. Selon lui, ils comptaient se rendre aux autorités pour "dire comment et pourquoi".

Clément Méric était connu des services spécialisés 

Il était fiché comme membred'un groupe de militants d'extrême-gauche
"qui recherchent la confrontation" avec ceux d'extrême-droite. 
Ces anti-fascistes font  notamment la chasse à la vingtaine .de skins constituant le noyau dur des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR).

Ils étaient tous connus, mais prospéraient dans les rues de Paris


2 commentaires:

  1. Vivement que la brave Belkacem interdise AUSSI à la presse de donner la parole à l'extrême gauche !

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  2. LES EXTRÊMES SE REJOIGNENT !!! dans la lutte idéologique qui les opposent ces deux groupes ne recherchent qu'une chose : l'affrontement directe dans le but de se tabasser . (ce qui n'a rien a voir avec une participation ,même active, a une manifestation ! )personne n'ignore donc les risques encourus ! ce qui ne retire rien a l'aspect dramatique de la mort de ce jeune .( étudiant "brillant" , mais très politisé et engagé )
    la première question qu'on se pose : que faisaient ces deux groupes dans une vente privée ?
    Âpres ce drame on constate la récupération politique qui en est faite .
    Ce qui me rappel " l'affaire Malik Oussekine " , entre- autre !

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