POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

jeudi 29 mars 2012

Quatre jeunes "Normands" auraient froidement exécuté un pote

"Normands" garantis  d'origine controlée par l'A*P


Quatre mineurs, âgés de 15 à 17 ans, sont 'soupçonnés' d'avoir froidement tiré deux balles dans la tête d'un des leurs.


Ils ont même brûlé son corps dans une forêt

Ces jeunes, bien sous tous rapports, ont été 'froidement' conduits jeudi matin au Palais de Justice de Rouen pour être mis en examen par un 'méchant' juge qui n'aime pas les jeunes. Et si il était raciste ? On peut déjà affirmer que ces jeunes sont à l'évidence victimes du système. Les Normands se reconnaissent-ils dans leur jeunesse ?



La préméditation est avérée

"Ils l'ont attiré dans un véritable guet-apens", dans une forêt près de Beauvoir-en-Lyons (Seine-Maritime), a déclaré le lieutenant-colonel Hugues Jeannin, commandant la Section de recherches de la gendarmerie de Rouen, chargée de l'enquête.
Le corps de leur victime, un adolescent de 17 ans a été découvert en train de se consumer gentiment dans la nuit de lundi à mardi par des agents de l'Office national de la chasse qui effectuaient un comptage animalier.
Interpellés et placés en garde à vue mardi, quelques heures après les faits, ces quatre jeunes ont affirmé avoir décidé de se débarrasser de leur camarade parce qu'ils craignaient qu'il ne les dénonce pour un cambriolage qui se serait déroulé début mars.

Selon les premiers éléments de l'enquête, les petits monstres Normands avaient programmé leur "exécution": ils ont appelé lundi leur future victime à de "multiples reprises" sur son téléphone portable et l'un d'eux est venu le chercher avec un scooter pour le conduire au bord d'une route forestière de la forêt de Lyons où les attendaient les trois autres, selon le lieutenant-colonel Jeannin.
Une fois leur victime arrivée, ils l'auraient alors fait asseoir sur un rondin pour l'abattre de deux balles de pistolet de calibre 5,5 millimètres dans la nuque.
"Les deux tirs ont été effectués par des tireurs différents et un seul a été mortel", a-t-elle précisé.

Non contents de leur crime, ils ont poussé le rafinement jusqu'à asperger son  corps d'essence et le brûler, avant de l'abandonner, a précisé Valérie Cadignan, procureur de la République à Dieppe.
Les avocats contesteront que l'acte était "prémédité" depuis plusieurs jours par les auteurs bien qu'ils aient été en possession d'une arme, comme tout bon petit Normand moyen, dont ils se sont ensuite débarrassés en la jetant dans une mare.

La découverte sur place du téléphone portable de la victime et d'un morceau de sa carte bancaire a permis aux hommes de la Section de recherches de la gendarmerie de Rouen de l'identifier et de remonter rapidement à son entourage.
Les "garçons" interpellés, comme dit l'A*P, habitent le village de La Feuillie (1.100 habitants) ou ses environs, et n'avaient pas d'antécédents judiciaires. Ce sont deux fratries de deux frères, âgés à chaque fois de 15 et 17 ans, qui ont fréquenté les mêmes établissements scolaires que leur victime.
L'Education nationale n'a pas failli à sa tâche éducative et les professeurs de la FSU peuvent se dire soulagés d'avoir échappé à de sévères représailles.
Mais la famille de la victime ? A-t-elle droit à une cellule psychologique ?

Où en sont la morale et les valeurs humaines à l'école ?

Motivation dérisoire mais barbarie effective

Le motif invoqué pour justifier leur geste "reste toutefois à vérifier compte-tenu de la distorsion entre les faits et la motivation", a noté la procureure.
Le butin du cambriolage commis chez des particuliers aurait en effet été dérisoire: quelques bouteilles d'alcool et des consoles de jeux, selon les informations recueillies par l'AFP, qui se sera citée  cinq fois en une seule dépêche pourtant caractérisée par l'horreur.
Pascal Legay, le maire de La Feuillie (1.100 hab.) a fait état de son "incompréhension".
"De ce que je sais, ces jeunes ne se rendent pas compte de ce qu'ils ont fait", a-t-il dit. "La Feuillie est un village tranquille. On n'arrive pas à comprendre. On tombe le cul par terre", a-t-il déclaré.
Une cellule psychologique a été mise en place jeudi matin au collège de La Feuillie à l'intention des élèves dont certains ont été "très choqués" par ce drame, selon le maire.
Les jeunes, dont on ne sait rien, sinon leur précocité et leur origine normande, devaient être mis en examen dans la journée de jeudi pour assassinat par un juge du pôle (on prononce "paul" sur France Info...) de l'instruction de Rouen.


Nos petits Normands seront présentés à un juge pour ...enfants
Mineurs, ils encourent pour ces faits une peine de vingt ans de prison et non la réclusion à perpétuité comme dans le cas d'adultes.
Pourvu que le régime pénitentiaire ne les pervertisse pas !


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):