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dimanche 15 janvier 2012

Un ivrogne insulte N. Sarkozy à ...Lille, mais le PS détourne en nouvelle polémique

Le Lillois divaguait librement sur la voie publique


Quant à elle, Martine Aubry, ici à la préfecture de Lille,
ne proférerait pas ses insultes
sous l'empire de l'alcool


2.5 g d'alcool dans le sang et libéré


Un homme a été interpelé jeudi pour outrage au chef de l'État
L'homme, âgé de 54 ans, a été arrêté en marge du déplacement du chef de l'État.

Il s'était cru autorisé à insulter le "sale mec" que Hollande lui avait désigné
Nicolas Sarkozy serrait quelques mains dans le cadre de ses vœux aux personnels de la fonction publique, quand le Chef de l'Etat croisa l'individu en état d'ivresse, avec près de 2,5 grammes d'alcool par litre de sang, au moment de son interpellation selon des informations d'Europe1.

La presse parle pourtant d' "altercation"
Bien que les circonstances de l'outrage n'aient pas été précisées, le journaliste d' Europe 1 emploie des mots qu'il ne maîtrise pas et suggère que le président de la République aurait eu un échange avec l'ivrogne.


Vers un simple rappel à la loi

Il suffit de s'enivrer pour insulter le chef de l'Etat impunément

L'homme a été placé en garde à vue à l'hôtel de police de Lille sud. En raison de son taux d'alcoolémie, il bénéficie d'un report de ses droits, indique La Voix du Nord. Toujours selon le journal local, le Lillois ferait l'objet d'un simple rappel à la loi.

Ce n'est pas la première fois que le chef de l'État est victime d'outrage
En juin dernier, lors d'un déplacement à Brax, en Lot-et-Garonne, un homme l'avait violemment agrippé par le col de sa chemise.
A contre-courant des procédures classiques, Nicolas Sarkozy n'a pas porté plainte. L'agent d'accueil au conservatoire de musique de la ville d'Agen avait toutefois été condamné le mois suivant à six mois de prison avec sursis, avant d'être suspendu trois mois de ses fonctions, en octobre.

Les socialistes du cru s'en prennent ...aux forces de sécurité

Alors que certains élus locaux ont critiqué la disproportion du dispositif de sécurité mis en place pour la venue de Nicolas Sarkozy, un incident est survenu en marge du déplacement du chef de l'État.

La déformation des faits est une routine de la presse vertueuse
Lorsque le président Sarkozy promis de nettoyer au kärcher, il reprenait les termes d'une habitante qui appelait le chef de l'Etat à l'aide, à Argenteuil, le 6 novembre 2005.
VOIR et ENTENDRE la vérité sur la "racaille" de Seine-Saint-Denis, d'après Arrêt Sur Images: Banlieues Filmer et Raconter, présenté par Daniel Schneidermann sur France 5, le 6 novembre 2005:
A noter que la video présentée par PaSiDupes a été censurée dans son article du 13 avril 2007.
Nous avons dû la rétablir pour une information non manipulée par les media de presse ou les services de partage de vidéos en ligne.

Et quand au Salon de l'Agriculture le président Sarkozy invita un "pov'con" à "se casser", il réagissait au refus du malotru qui refusait de lui serrer la main en lançant: "Touche-moi pas; tu m'salis !"
Traiteriez-vous votre collègue avec cette vulgarité ?

Les insultes du lillois éméché dont les termes n’ont toujours pas été révélés ne justifieraient pas une inscription au casier judiciaire. Ils n’ont d’ailleurs été entendus que par des policiers présents sur place, et non par le chef de l’Etat.

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