POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

mardi 26 juillet 2011

Contre-offensive des socialistes pro-satyre contre la femme de ménage noire



DSK serait l'innocente victime de la femme noire !


Pour les socialistes, Diallo est-elle Satan ?...



Le monde à l'envers
des accusateurs de Nafissatou






A entendre et lire France Info, le noir reste connoté négativement et
Nafissatou Diallo incarnerait tout le mal véhiculé par les théories raciales qu'on croyait profondément enfouies.
Les propos insidieux tenus à l'encontre de la victime originaire de Guinée de Dominique Strauss-Kahn sur France Info font resurgir de vieilles peurs. Dans notre culture, la couleur noire évoque en effet le sale, la nuit et l'obscurité. Dans notre culture, on l'a compris, le noir est en effet associé à la notion de mort et de deuil, de tristesse et de désespoir, de peur, de mal et de malédiction, et aussi de révolte et d'anarchie.
« Avoir des idées noires », « broyer du noir », « humour noir », « être sur la liste noire », « être le mouton noir », « être la bête noire », jeter un regard noir », « marché noir », « humeur noire », « travail au noir », « être payé au black » sont des locutions que les décrypteurs (comprendre 'commentateurs') de France Info semblent presque toutes appliquer à l'insolente "dénonciatrice".


L'indignité d'une journaliste de France Info

Fabienne Sintes , journaliste engagée de France Info, fait sans doute profession de féminisme, en tant ordinaire, mais en temps de crise et pour raison supérieure, la militante est d'abord et avant avant tout socialiste
, un gage de longévité professionnelle, avec le soutien du SNJ.

Compte-rendu de la chaîne nationale en date du lundi 25 juillet:
La femme de chambre du Sofitel de Manhattan qui accuse Dominique Strauss-Kahn de l’avoir violée le 14 mai dernier s’exprime pour la première fois publiquement et à visage découvert.

Deux interviews dans deux grands médias américains, Newsweek et ABC news, où elle plaide elle-même sa cause [,accuse la journaliste engagée]. Les avocats de l’ex-patron du FMI crient au scandale et à la manipulation [précise-t-elle, solidaire].

" Le but évident de ce comportement est d’enflammer l’opinion publique contre un accusé dans une affaire criminelle en cours ". Voilà pour la réaction quasi immédiate [et à l'évidence prévisible mais partisane !] des avocats de Dominique Strauss-Kahn après que la femme de chambre qui "accuse" [martèle France Info] l’ex-patron du FMI de l’avoir agressée sexuellement a donné, pour la première fois, ses premières interviews publiques.

Ce que raconte [sic] Nafissatou Diallo, selon Fabienne Sintès, correspondante à Washington (1'03")

" A cause de lui on me traite de prostituée ", dénonce en substance la femme de chambre de 32 ans, d’origine guinéenne, dans les colonnes du magazine Newsweek. Six pages dans lesquelles elle donne sa version détaillée des faits. Comment elle s’est retrouvée face à face avec l’ex-patron du FMI, nu dans sa suite. " Oh, mon Dieu, je suis désolée ", lui aurait-elle dit, avant de tourner les talons pour partir. " Vous n’avez pas à être désolée ", lui aurait alors répondu DSK. Mais il était " comme un fou ", raconte-t-elle à Newsweek.

Toujours selon ses déclarations [sic], DSk lui aurait alors touché les seins et aurait claqué la porte de la suite. " Vous êtes belle ", lui aurait-il dit en l’entrainant vers la chambre. "J’ai dit : Monsieur, arrêtez cela. Je ne veux pas perdre mon travail", raconte la femme de chambre. " Je ne le regardais pas. J’avais si peur ", poursuit-elle, avant de décrire la scène de fellation forcée. "Il tenait ma tête si fort", rapporte-t-elle. Et "il faisait du bruit, comme ’uhh, uhh, uhh’. Il disait ’suce ma...’ - je ne veux pas le dire- ", poursuit la jeune femme. "Je veux qu’il aille en prison. Je veux qu’il sache qu’il y a des endroits où on ne peut pas utiliser son pouvoir, où on ne peut pas utiliser son argent", affirme-t-elle.

Mais ce n’est pas tout.[Impatience!] La plaignante s’exprime également à visage découvert sur la chaîne de télévision ABC News, annonce le site internet de la chaine de télévision américaine. Une interview télévisée présentée comme exclusive et qui sera diffusée dans son intégralité mardi à 23h35 (heure européenne) sur ABC Television Network. La chaîne précise que des extraits de cet entretien avec la journaliste Robin Roberts seront disponibles dès lundi dans l’émission Good Morning America.

L’impact de ces interviews sur le public américain : l’analyse de François Durpaire, historien spécialiste des Etats-Unis à l’université Paris 1 . Il répond à Mireille Lemaresquier (3'59")
François Durpaire est co-fondateur et président du mouvement pluricitoyen (2010), de l'Appel pour une République multiculturelle et postraciale, coécrit avec Lilian Thuram, Rokhaya Diallo, Marc Cheb Sun et Pascal Blanchard, et président du mouvement pluricitoyen : "Nous sommes la France"

Et ce matin, mardi 26 juillet, nouvelle offensive partisane

Fabienne Sintès, péremptoire, poursuit son travail de sape du témoignage de la jeune employée noire:
Etape décisive dans l’affaire DSK, comme si l’avocat de Nafissatou Diallo abattait sa dernière carte [avec des si ! ] : après s’être cachée dans New York pendant deux mois, la voici, la femme de chambre, en chair, en os, en voix [sarcasme non dissimulé], sur ABC News, chaîne la plus regardée à New York où vivent près de 8 millions de jurés potentiels.
Une opération vérité, vraisemblablement, destinée à convaincre le procureur Cyrus Vance de maintenir les charges contre l’accusé Strauss-Kahn.

Timing parfait [sic, malgré 2 mois de retard...]: la femme de chambre est sortie du bois [scandaleux!], sur ABC, hier soir, à une semaine de la prochaine comparution de Dominique Strauss-Kahn devant le tribunal de Manhattan, et à l’avant-veille du dépôt de sa plainte au civil, qui ouvre droit à indemnisation.

Nafissatou Diallo sur ABC - Décryptage (!) de Fabienne Sintès à Washington (1'03")

On connaissait le verbatim de cet entretien donné à Newsweek et ABC News. Lire notre article d’hier. Voici maintenant les images :
VOIR et ENTENDRE comment le témoignage de la femme offensée est présenté par France 2, cette fois- "SA version des faits":
L’opération ressemble à une sérieuse offensive médiatique, commente la journaliste objective, qui n'aurait pas usé de cette même insinuation accusatrice au temps des "fuites" distillées par le New York Times. Et laisse perplexe [les partisans permissifs des puissants aux moeurs débridées]. La jeune Guinéenne qui "accuse" [l'insolente !!] DSK de crimes sexuels, après avoir longuement tu son identité et caché son visage [est-ce une accusation recevable et relevant d'un juge ou d'une journaliste ?], apparaît à l’écran [où s'est pavané le sulfureux couple Hollande-Sinclair qui a les préférences du service public], décrivant par le menu les faits qu’elle reproche à l’ancien patron du FMI, les mimant dans des gestes qui paraissent 'chorégraphiés' [sic].

Mise en scène ? La journaliste s'est-elle faite embaucher par Me Brafman, défenseur de DSK, ou est-elle missionnée par le PS ?
"Le malaise" est, selon la décrypteuse, renforcé par la bande-annonce de l’entretien à ABC, diffusée AVANT l’intégrale :

VOIR et ENTENDRE ce qui n'est rien d'autre qu'une accroche qu'utilise la journaliste pour dénigrer, car France Info diffuse l'extrait commercial APRES pour laisser une impression mitigée à l'auditeur, la déontologie dût-elle en souffrrir une fois de plus:

Son récit a pourtant été jugé " très convaincant " par l’un de ses intervieweurs, le correspondant du magazine de gauche Newsweek à Paris. Même si l’article dans le magazine américain relève que certaines larmes de la jeune femme paraissent "forcées", [impression subjective, car, pour les autres, la victime est émouvante] commente la journaliste, malgré son empathie naturelle de femme....

Le téléspectateur américain, en tout cas, est une nouvelle fois[sic] pris à témoin, dans cette affaire parole contre parole, se plaint la journaliste, indignée qu'une Guinéenne ose tenir tête !

La compassion est militante




Montage photos à l'appui
Pas de quartier avec l'imigrée, une "dénonciatrice" impertinente qui revit pourtant, crispée, sous nos yeux le cauchemar de son agression.

Attendons-nous à un prochain sondage !
C'est dans la suite normale d'une manipulation médiatique bien menée...


1 commentaire:

  1. Les socialistes ont décidément l'art et la manière de se faire passer pour les victimes de complots dès qu'ils sont ( présumés ) coupables.
    Comme paranos, difficile de faire mieux. Les Français seront-ils assez bêtes pour se laisser abuser encore longtemps ?

    RépondreSupprimer

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):