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mardi 22 juin 2010

Mondial: Zidane nie avoir interféré avec le sélectionneur

L'idole prodigue quelques banalités consensuelles
Au théâtre Zidane ce soir

Le commerce doit continuer: il reste de bonnes affaires à faire
Ainsi, Anelka a libéré une place chez Quick...
Selon le petit laitier de Danone, les insultes d'Anelka "n'auraient pas dû sortir des vestiaires", mais la "grève" des Bleus qui ont refusé dimanche de s'entraîner n'est pas - selon lui - une bonne chose...
L'ancien meneur des Bleus se disait "triste", mais voulait alors y croire encore, car "si cette équipe de France passe (en 1/8èmes de finale) on oubliera tout".
A propos de Raymond Domenech, le Champion du Monde 1998 a tenu à préciser : "Je n'ai jamais eu de feeling avec lui, mais je n'ai jamais eu de problème non plus".
Mais a-t-il été le sélectionneur bis de l'équipe de france, occulte et bénévole ?

Zidane, côté cour: pas de grève sur le tas

L'ancien meneur de jeu de l'équipe de France Zinedine Zidane a affirmé lundi son désaccord avec le refus des joueurs français de s'entraîner dimanche avant son match décisif du Mondial-2010 face à l'Afrique du Sud (groupe A). "Le fait de voir les joueurs ne pas s'entraîner, forcément je ne suis pas pour, mais en même temps je ne suis pas à l'intérieur pour savoir ce qu'il se passe dans leurs têtes", a déclaré Zidane lors d'une conférence de presse à Johannesburg. "Je ne suis pas du tout pour, parce qu'en fait, comme l'a dit un journaliste, on se souviendra de celui qui gagnera la Coupe du monde et de l'équipe de France pour avoir refusé un entraînement", a-t-il poursuivi.

Zidane, côté jardin: black-out et secret des sources

Martine Aubry n'a pas déteint sur le maillot du dieu vivant.

A propos des insultes de l'attaquant Nicolas Anelka à l'endoit (?) du sélectionneur Raymond Domenech jeudi à la mi-temps du match France-Mexique (0-2), Zizou s'est montré nettement moins vulgaire que Titine, le premier secrétaire du PS. Lire PaSiDupes "Forcément, personne n'est d'accord avec ce qu'il (Anelka) a pu dire ou faire [faire???], mais ce que j'ai envie de dire (...) c'est surtout le fait que ce soit sorti. Parce que dans un vestiaire, il se dit beaucoup de choses, parfois difficiles, mais jamais ça ne sort", a estimé Zidane.
Monsieur de La Palisse était dans les vestiaires. "Le problème en fait, c'est quand ça sort, là les choses se compliquent et deviennent très graves", a-t-il révélé.
Le vainqueur du Mondial-1998 a juré ne pas savoir qui se cachait derrière les fuites parues dans le quotidien sportif français L'Equipe sur cette altercation. Quant au traitre débusqué par le capitaine Evra, la presse n'a pas réussi à le faire fuiter... Un ex-capitaine, fût-il de football, ne critique pas ses successeurs. Il faut être vieux Buffet et ancien ministre communiste pour se livrer à ce sport de haut niveau "minable". Lire PaSiDupes
Ou "vieille éthique", bien sûr... Lire encore PaSiDupes
Passons donc à la dernière révélation divine.

Zidane, côté orchestre: je ne suis pas souffleur

Concernant Ray Domenech, il a estimé n'avoir "jamais eu de problème avec cet entraîneur". "Je n'ai jamais eu de feeling, mais je respectais en fait la position. Moi, j'étais joueur, lui entraîneur", a-t-il assuré. Et de glisser, en passant à une banalité pour rappeler l'importance du dernier match pour les Bleus dans le groupe A, à Bloemfontein (centre) contre l'Afrique du Sud. "Si l'équipe de France passe, on oubliera tout (...) Donc moi, j'attends ce match avec impatience", a-t-il lancé.

L'ex-capitaine de l'équipe de France ne serait pas le contre-sélectionneur masqué

Pas de gouvernement fantôme

Libération (19/06/2010): "Selon nos informations, une délégation de quatre joueurs est allée mercredi, veille du match contre le Mexique, voir le sélectionneur Raymond Domenech pour obtenir un changement tactique. Les quatre: le capitaine Patrice Evra, Franck Ribéry, Thierry Henry et William Gallas.[...]
Le lendemain, jour du match face au Mexique, il apprend cependant qu’un homme se trouve derrière les quatre émissaires et le changement tactique réclamé. Et pas n’importe quel homme, puisqu’il s’agit, toujours selon nos informations, d’une sorte de demi-dieu à l’échelle du football français: Zinédine Zidane.
Le sélectionneur pète alors un plomb: tout se passe comme si, au fond, Zidane faisait l’équipe à sa place. Quatre ans après une Coupe du monde 2006 où le numéro 10 avait déjà fait la pluie et le beau temps dans l’équipe, ravalant déjà Domenech à un rang de figurant. Dégoûté, il s’assoit sur l’accord et aligne la même équipe que contre l’Uruguay (0-0) lors du match inaugural des Bleus à l’exception de Gourcuff, remplacé par Florent Malouda.
Ce qui ne sauvera pas les Bleus."


Zidane a laconiquement démenti être intervenu sur la composition du onze à aligner contre le Mexique
, contrairement à ce qu'a affirmé samedi le quotidien Libération. Et puisque les vestiaires sont poreux, n'est-ce pas...
"Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer."

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