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samedi 22 mai 2010

Tragique "après beuverie": elle fait une chute sur le toit du métro

Un article de presse confus, sous l'emprise de l'alcool ?
A sa sortie de l'hôpital, une jeune fille avoue avoir sauté sous l'emprise de l'alcool .

Lundi 17 mai après-midi, elle a avoué aux enquêteurs avoir sauté par erreur sur le toit du métro en voulant rattraper des amis. Elle pensait atterrir sur le quai. «La piste criminelle est exclue. Il n'y a aucune infraction pénale dans cette affaire, a précisé le parquet. C'est une erreur de jeunesse dans un contexte de fête et d'alcool.» Le vice-procureur est un sympathisant de l'alcool et des jeunes. S'il n'est pas décîmé par l'alcoolisme, le Parquet n'échappe pas au "jeunisme" .

Le détail de l'« erreur de jeunesse »

Marine, 19 ans, est restée sur le toit du métro de la ligne D à Lyon, durant deux stations
avant d’être découverte par des passagers à la station Saxe-Gambetta, à Lyon. Samedi soir, un peu après minuit, cette jeune femme a été scalpée après avoir probablement heurté une caméra de surveillance dans un tunnel juste après la station Guillotière. Le métro roulait entre 30 et 50km/h.
A la station suivante, un bras pendant de la jeune femme et du sang coulant sur une rame ont alerté des personnes qui s’apprêtaient à rentrer dans le métro. La télé-surveillance serait responsable, selon un témoin anonyme. Pourquoi PaSiDupes n'aurait-il pas lui aussi des témoins inventés dignes de foi ? Il suffit de préciser « socialistes », pour la crédibilité !

Pas belle la vie ?

Elle saluait la foule des passagers depuis le toit du métro.
«A la station Guillotière, des témoins affirment qu’elle faisait la zouave depuis le toit en faisant coucou aux passagers», indique Patrick Aujogue, directeur de sécurité chez Keolis, exploitant du réseau des transports en commun lyonnais (TCL).
« Selon les premiers éléments de l’enquête menée par la police judiciaire de Lyon, Marine aurait atterri sur le toit du métro à la station Bellecour. Mais aucune image ne montre comment elle y est parvenue », écrit Le Dauphiné. L'article précise le pourquoi du comment: « Elle était alcoolisée» ! La caméra, probablement ...
La police a saisi les images du réseau de vidéosurveillance des TCL. En vérité, les caméras socialistes ne tournent pas en continu, pas même aux heures chaudes: c'est la notion PS de sécurité publique! Nous sommes en effet samedi soir et ce samedi-là était spécial, bien que la presse locale ne pipe mot.

La presse ne nous dit pas tout: ce n'est pas son rôle ?

La petite erreur de jeunesse a un coût pour le travailleur
« Marine a reçu les premiers soins dans la rame du métro avant d’être transportée à l’hôpital Edouard-Herriot (3e) où elle devait être opérée. Ses jours ne seraient pas en danger, selon le Bernard Rivalta, président du Sytral, autorité organisatrice des transports en commun lyonnais, qui condamne les «dérives festives» du week-end. » Sa ceinture et son téléphone portable ont été retrouvés sur le toit de la rame après être rentrée au dépôt.

Le Dauphiné n'a pas pris l'avis de Guy Birenbaum


A qui

la faute,

hein ?

A Birenbaum ?

Non, Au petit reporter,

bien sûr !


C’est toujours le même problème, on ne peut pas interdire aux jeunes de faire la fête. On ne peut pas tout prévoir”, s'excuse Bernard Rivalta, le président du Sytral.
Pas de souci, quand, à propos des apéros géants, Rue89 sous-titrait: « « Facebook a un homme sur la conscience », Guy Birenbaum commenta en effet sur LePost: « Au fait, dans les férias, que je connais bien, il me semble qu'il y a pas mal de comas éthyliques…. On interdit ? » Il faut que jeunesse se passe et celui-ci n'était même pas un sacrifice humain de masse au dieu alcool.

Le sacrifice humain a été bien accueilli
Le lendemain, la chevauchée infernale de la scalpée du métro lyonnais a motivé l'annulation de l'apéro géant de Lyon, le 28 mai. Lancé le 21 avril, près de 23000 personnes étaient inscrites à cet événement qui devait battre un record d'affluence et de victimes.


Or, officiellement, le scalp de Marine n'aurait pas justifié l'annulation.

« Compte-tenu des difficultés d’organisation pour obtenir les autorisations nécessaires auprès des autorités « dans un délai trop court », les organisateurs n'ont pas voulu rivaliser avec les férias.

Et la municipalité de Lyon avec celle de Nantes. Lire PaSiDupes

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