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dimanche 28 février 2010

Régionales: Mariani estime que le FN fait le jeu du PS

Les électeurs frontistes veulent-ils redonner la présidence à Vauzelle

Rue89 -d'anciens journalistes de Libération- a donné la parole à l'UMP Mariani (ci-contre), le 21 /01/10

Mariani : « Le PS rêve que le FN fasse un gros score en Paca »

Sûr de son fait [ce sont les socialistes de Rue 89 qui le disent], de son début de campagne, de la force de son camp « uni » quand la gauche « a explosé en trois ou quatre listes », Thierry Mariani (UMP) cultive son discours d'homme de droite décomplexée.
S'il n'avait pas encore en main les résultats du sondage commandé par le PS lorsque je l'ai interviewé, Thierry Mariani l'a toutefois brièvement commenté depuis :
« Le rêve quotidien des amis de Vauzelle est que le FN fasse un gros score pour les servir au second tour. Cette recette n'est pas nouvelle. La campagne commence. »

L'attitude du PS vis-à-vis du FN

Un argument que le député du Vaucluse répète à l'envi. Un FN fort ferait les affaires du PS et de Michel Vauzelle « qui a déjà été élu par deux fois grâce au Front National ».
Thierry Mariani, des fleurs dans son discours, n'hésite pas à présenter la gauche comme « le plus beau concert de faux-culs dans cette région » en même temps qu'il se défend d'avoir un jour « pactisé avec l'extrême-droite ».
VOIR et ENTENDRE 1

Des arguments balayés par un sondage du PS. Sondage « partisan », selon les adversaires de Michel Vauzelle, qui donnait la gauche gagnante à tous les coups, y compris dans l'hypothèse où le Front national serait absent du second tour…

La candidature de Bompard ? « Oedipienne »…

Une absence du FN « réjouirait » Thierry Mariani. Il confirme qu'aucun accord ne sera passé entre les deux tours avec l'une ou l'autre des listes de l'extrême-droite, celle du FN ou de la Ligue du Sud. « Entre Jacques Bompard et moi, c'est une longue histoire d'inimitié réciproque.
»
«
La candidature de Jacques Bompard, c'est oedipien ou freudien. Bompard est persuadé qu'il a été l'un des meilleurs élèves de Jean-Marie Le Pen au FN et qu'il n'a jamais été reconnu à sa juste valeur. C'est, en réalité, la deuxième liste d'extrême-droite où le père veut tuer le fils (sic).
»
VOIR et ENTENDRE 2

La coalition de l'Olivier en morceaux

Autre argument avancé par le candidat de droite : l'unité de son camp face à une gauche qui part divisé.
« Je languis de voir comment vont faire nous adversaires pour fusionner trois ou quatre programmes complètements contradictoires. »
VOIR et ENTENDRE 3

Et de rappeler, comme l'a fait le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin en début de semaine, les déclarations de Laurence Vichnievsky, tête de liste d'Europe Ecologie en Paca, à propos de la gestion de l'institution régionale.

Mariani s'avance un peu : « Le bilan de mon prédécesseur »

L'occasion également de revenir un instant sur la gestion des années Vauzelle
. Ce que Thierry Mariani définit comme « le bilan de mon prédécesseur » (sic).
VOIR et ENTENDRE 4

Il explique encore :
« C'est d'abord une attitude que je dénonce : celle de Michel Vauzelle vis-à-vis de l'Etat. Il est dans une position de blocage systématique » :
« Dans la plupart des régions dirigées par les socialistes, malgré nos divergences de vue, des efforts sont faits pour accompagner l'effort national. Pas en Paca. Un exemple : les pôles de compétitivité, tout le monde y abonde, seule la région Paca fait ses petits pôles de compétitivité en les appelant les Prides. »

Le PS ? « Les conservateurs du moment »

Thierry Mariani pointe également le projet de réforme des collectivités territoriales, au coeur de la campagne des régionales, comme un nouvel exemple de cette attitude de « blocage » de la gauche. Le PS, selon lui, ce sont « les conservateurs du moment ».

=> Avant d'insister sur
certains dossiers qui, à ses yeux, doivent porter la région dans les prochaines années :

« Le véritable enjeu c'est de
mettre Provence Alpes Côte d'Azur au centre de l'arc méditerranéen.

=> Le rôle du président de Région, c'est de tout faire pour que la fameuse ligne grande vitesse se réalise parce que, le jour où, de Barcelone à Gênes, on aura un train rapide, le centre ce sera nous.

=> Autre exemple : les fameuses percées alpines, cruciales si l'on veut désenclaver deux des départements de notre région. Depuis 12 ans, on a rien fait. Pourquoi ? Parce que la majorité de Mr. Vauzelle est totalement en désaccord sur ce dossier. »

vendredi 26 février 2010

Peillon défend Soumaré mais attaque Madelin et Devedjian

Madelin et Devedjian, nouvelles victimes de Vincent-la-honte

Le poseur de lapin a manqué sa vocation théâtrale


Coup de théâtre du deuxième acte

L'affaire Ali Soumaré inspire Peillon-la-honte
: il vient de faire entrer en scène deux mineurs d'alors, Patrick Devedjian (20 ans) et Alain Madelin (19 ans).

Vincent Peillon a produit jeudi sur LCI une coupure de presse datant de ...1965. Le socialiste avait cinq ans !
Cet article relate un fait divers qui avait valu à Alain Madelin et Patrick Devedjian une condamnation en correctionnelle. Sur le plateau de Politiquement show, émission de LCI, le socialiste Vincent Peillon a exhumé un fait divers impliquant les deux élus. Il a sorti de sa poche une copie d'un article en disant: "Je vous ai amené un document très intéressant qui est l'édition du Petit varois du 11 novembre 1965. Le titre 'en correctionnelle, deux jeunes dévoyés en vacances à La Croix Valmer avaient essoufflé la police'". Peillon-la-honte ne révèle pas l'identité de l'archiviste du PS qui fiche les Français. Lire PaSiDupes

La synthèse Peillon: "la fin nous apprend que ces deux jeunes avaient volé une Simca 1000, volé des moteurs de bateaux, avaient des papiers d'identité faux, des plaques d'immatriculation fausses, avaient avec eux un pistolet 6,35 et avaient fait courir la police", a poursuivi l'ex-lieutenant de Sa Cynique Majesté Royal.
Il ménage ses effets. "J'ai cherché les noms et c'est finalement une jolie anecdote, on a deux noms : MM. Alain Madelin, Patrick Devedjian (ci-contre)."
Vincent Peillon ironise pour conclure: "Je souhaite véritablement qu'Ali Soumaré fasse une aussi belle carrière."

Une bataille de plaintes pour diffamation

Dans le même temps, Michèle Sabban-Allali (Rassemblement de la gauche et des Verts), née en Tunisie, vice-présidente socialiste sortante du Conseil Régional d'Ile-de-France et tête de liste PS dans le Val-de-Marne, le 9 mars, assignera pour diffamation Axel Poniatowski son rival, tête de liste UMP dans le Val d'Oise, qui avait évoqué les poursuites judiciaires contre la tête de liste PS, "pour emplois fictifs". Or, d'une part, elle avait été relaxée dans cette affaire par un jugement du 2 juin 2003, et, d'autre part, elle est -de surcroît- la présidente de l'assemblée des régions d'Europe (ARE) , autant dire intouchable.
Son parcours ?
A la municipale de mars 2008, la strauss-kahnienne Michèle Sabban-Allali, attachée parlementaire devenue secrétaire fédérale du PS et candidate à Boissy, avait été combattue par Désirdavenir Royal: elle arriva donc en troisième position (26,2%) derrière Régis Charbonnier (PS diss, 29,5 %) et Daniel Urbain (UMP, 31,9 %).

=> Quant à Ali Soumaré, candidat socialiste vertueux, il tenait son premier meeting depuis les révélations sur son passé judiciaire vendredi 19 février (lien PaSiDupes). Présent à son côté, Laurent Fabius l'a assuré de son total soutien, de quoi convenir à Georges Frêche, puisque l'exemplaire tête de liste du PS n'est pas joueur de football.

Jean-Paul Huchon
n'a pas manqué d'éreinter l'équipe adverse en prétendant supporter le « multirécidiviste »: "Je veux avoir un mot pour Ali. Je sais combien c'est dur pour lui, pour les siens, pour sa famille. Je sais combien il est difficile de voir son honneur livré aux chiens".
Le président de la région Ile-de-France paraphrasait ainsi François Mitterrand, qui s'était indigné en mai 1993 aux obsèques de Pierre Bérégovoy "que l'on ait pu livrer aux chiens l'honneur d'un homme". Espérons que Huchon ne veut que du bien à Soumaré, si on songe à la fin brutale et mystérieuse de Bérégovoy.

Autre strauss-kahnien et donc en concertation, Huchon-Ronron n'a en revanche fait aucune allusion à l'assignation d'Axel Poniatowski par la cumularde Sabban-Allali, accusée d'emploi fictif. Le Huchon sait nager: ce n'est pas seulement le président sortant du Conseil Régional d'Ile-de-France; c'est aussi un poisson d'eau douce. Alors Huchon -déjà connu pour son incurie dans la gestion des lycées de la région- n'a pas réactivé une comparaison qui lui serait défavorable:
=> En novembre 2004, suite à la dénonciation par lettre anonyme de l'existence d'emplois fictifs au sein du Conseil Régional d'Ile de France, le président socialiste fut jugé avec son épouse, Dominique Le Texier, pour prise illégale d'intérêts lors de marchés publics, passés en 2002 et 2003, entre le Conseil Régional et les sociétés de communication Image Publique, Sertis et LM Festivals, employant Dominique Le Texier. Condamné à 6 mois de prison avec sursis -et non pas relaxé-, 60 000 euros d'amende et un an d'inéligibilité le 20 février 2007 par le tribunal correctionnel de Paris, la peine est confirmée en appel le 21 novembre 2008, hormis la peine d'inéligibilité...

A la municipale de mars 2008, la strauss-kahnienne Michèle Sabban-Allali, attachée parlementaire devenue secrétaire fédérale du PS et candidate à Boissy, avait été combattue par Désirdavenir Royal: elle arriva donc en troisième position (26,2%) derrière Régis Charbonnier (PS diss, 29,5 %) et Daniel Urbain (UMP, 31,9 %).

Arlette Chabot encaisse; les élus UMP poursuivent

Rappel du coup de pute de Vincent-la-honte à Arlette Chabot sur France 2

=>
L'entourage de Patrick Devedjian a annoncé qu'une plainte pour diffamation serait déposée contre Vincent Peillon.

=> L'ex-ministre Alain Madelin (ci-contre), désormais retiré de la vie politique, conteste fermement la condamnation en correctionnelle que lui a attribuée jeudi soir Vincent Peillon, et va assigner en diffamation l'eurodéputé socialiste, a indiqué vendredi son avocat, Me Jean-Marc Fedida.

N.B.

  • Si Patrick Devedjian est ministre auprès du Premier ministre, chargé de la mise en œuvre du plan de relance, Peillon consacre son énergie à une relance fort "nauséabonde" qui n'apporte rien à la lutte contre la crise et au bien-être des Français les plus défavorisés. Alain Madelin est quant à lui rangé des voitures ministérielles...


  • C'est dire que, dans l'affaire des affaires judiciaires d'Ali Soumaré, tête de liste de la diversité PS aux Régionales, l'attaque de l'ex-proche de Sa Cynique Majesté Royal, le teigneux du congrès de Reims, ne vise pas des têtes de listes UMP: la contribution du pollueur non payeur Peillon à la campagne est donc plus que malsaine, vile.

  • jeudi 25 février 2010

    Audrey Pulvar (i>télé) confirme sa relation avec Nono Montebourg (PS)

    La journaliste du groupe Canal+ a-t-elle encore gagné en liberté ?

    Grand bien leur fasse ?
    Le seul défaut d'Audrey Pulvar est-il Nono Montebourde ?

    On est tenté de dire que cette relation les regarde, mais nous sommes supposés faire confiance à une journaliste à qui la déontologie professionnelle impose l'objectivité. (Voir le sondage PaSiDupes en colonne de droite) Comment cette perle réussit-elle à concilier impartialité et impertinence ? Comme elle l'avoue, Audrey Pulvar est bridée: «Je dois faire attention à tout ce que je dis » !

    Chacun a observé qu'Audrey Pulvar (ci-contre) est en effet visiblement gênée aux entournures, mais notre indulgence aura mis son ambiguïté manifeste sur le compte d'une nécessaire adaptation à i>télé, depuis qu'elle a quitté France 3 l'été dernier. Or, dans le même temps, Arnaud Montebourg, qui faisait de la surenchère avec Désirdavenir Royal, s'est révélé peu tendre envers son camarade-gérant de L'Espoir à gauche que voulut lui reprendre.

    Sa liaison la lie

    Bien qu'elle assure que "sur i-télé, j'ai une vraie latitude", Audrey Pulvar insiste plus que de raison: « il y a une liberté de ton et d'espace qui fait que je ne regrette pas du tout France 3 ». A y mettre tant d'insistance, la concubine Montebourde est-elle crédible dans la mesure où désormais elle ne peut plus recevoir sereinement Sa Cynique Majesté Royal sur i>télé et que les ennemis de son ami sont ses ennemis ?
    D'ailleurs, cette image d'intégrité dont se pare la journaliste est difficile à passer. Ne s'est-elle pas chargée de deux handicaps lourds en matière de neutralité: Canal + d'une part et le PS, d'autre part, sont deux raisons qui la rendent suspecte de sympathies incompatibles avec l'exercice de sa profession, puisque le PS est à n'en pas douter dans l'opposition et que Canal+ a été voulu par François Mitterrand dès 1982. En choisissant Canal+ dont l'insolence est le fonds de commerce, Mme Pulvar confirmait son orientation politique et elle n'avait donc pas besoin de partager la vie de Nono Montebourg, un homme marié, pour que ses préférences la discrédite en tant que journaliste libre.

    Audrey Pulvar se défend de deux allégeances

    Elle en fait tellement comme admiratrice de la liberté de ton de ses confrères que son malaise transpire, depuis qu'elle a perdu la sienne. D'Aphatie, elle déclare: « Il a fait ce que tout journaliste rêve de faire: il a créé quelque chose, un ton, un rendez vous. Evidemment, l'interview politique et la pugnacité existai[en]t avant lui, mais il se passe quelque chose avec Aphatie qui ne se passe pas ailleurs. » Si ce n'est pas de la nostalgie... Elle poursuit dans le registre de l'amertume: « C'est ce qui fait la personnalité de son rendez-vous, comme chez Elkabbach et Demorand qui eux aussi font des choses que l'on ne voit pas ailleurs. »

    Madame Pulvar-Montebourg doit choisir

    En ces temps « nauséabonds » de campagne des régionales, la position du couple devient intenable. Certes, à partir de l'instant où la candidature d'un socialiste de la diversité est jugée « positive » par le CRAN parce qu'il est Malien de Villiers-le-Bel d'origine et bien qu'en délicatesse avec la justice, tout devient possible et, du caniveau, le n'importe quoi peut se déverser à l'égoût.

    La dignité de ses aînées

    L'exemple vient d'en-haut
    Il fut un temps où des journalistes tiraient les conséquences de leurs préférences amoureuses.
  • Madame Borloo n'est autre que la journaliste Béatrice Schönberg, née Szabó. Or, lorsqu'elle épousa le ministre radical de l'ouverture en activité en 2005, l'opposition obtint de France 2 qu'elle arrête en mai 2007 de présenter le journal de 20h.
  • Madame Dominique Strauss-Kahn est aussi une journaliste, Anne Sinclair, née à New York d'un industriel et de Micheline Nanette Rosenberg.
    Bien que très respectée pour son émission politique Sept sur sept dans les années 1980-1990, entre autres. Elle fut directrice adjointe de l'information sur TF1, puis directrice générale de TF1 Entreprise.
    Or, lorsqu'en 1997, DSK fut nommé ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, elle décida d'arrêter la présentation des émissions politiques et devint directrice générale de e-TF1, la filiale internet du groupe, puis vice-présidente.

    Mme Pulvar-Peillon préservera-t-elle l'honneur de la profession ?

    Bizarre, que la gauche vertueuse ne s'applique pas à elle-même les règles qu'elle édicte pour les autres, à la veille d'un scrutin dont l'enjeu est, selon elle, national.
    La conspiration du silence de la gauche est tout à son honneur...
  • Frère Rebsamen, gestionnaire socialiste à surveiller

    Le maire de Dijon a-t-il enfin redressé les finances ?

    VOIR et ENTENDRE le dilettante dijonnais (2006)

    Warning: Dijonnais(es), s'abstenir...

    Lire aussi l'article de PaSiDupes intitulé « Frère Rebsamen, Royal expert économique... », en date du 23-08-06.


    Un vrai régal digne du cégétiste Krasucki
    Pour les amateurs,,VOIR et ENTENDRE Riton dans ses oeuvres:

    mercredi 24 février 2010

    L'opposition lâche un peu TF1 et s'acharne sur France 2

    La gauche entend choisir l'actualité du 20 Heures de France 2

    Vincent Peillon-la-honte a ouvert la chasse: ils veulent la tête d'Arlette Chabot

    Directrice de la rédaction de France 2 depuis 2004, Arlette Chabot n'a pas de chance: elle n'est ni noire, ni arabe et de nos jours, ça ne pardonne pas dans certains milieux. Espérons pour elle que son casier judiciaire est vierge...
    Cette présumée coupable concentre sur sa personne toutes les aigreurs, suspicions et accusation des coupeurs de tête de l'opposition. Ils en oublient Bouygues et TF1, c'est tout dire de ces mono-maniaques malfaisants.

    La dernière de LePost: « France 2 fait rimer délinquance, drogue, Soumaré et PS... »
    C'est du moins l'avis du site pitoyable LePost sur lequel l'illustre journaliste Bruno Roger-Petit, viré de France 2, règle ses comptes. Il titre: "
    Quand le 20 Heures de France 2 fait rimer délinquance, drogue, Soumaré et PS..."

    Un procès d'intention d'une rare bêtise...

    Puisqu'il ne consacre guère de temps à la réflexion et à l'écriture, il lui aura suffi d'une mi-temps de football pour se renseigner. Il sera donc bien le seul à débusquer une coïncidence artificielle entre une prise record de drogue, des violences scolaires et les démêlés judiciaires d'Ali Soumaré, tête de liste brûlée du PS. Arlette Chabot aurait donc associé ces faits d'actualité pour nuire à la gauche.

    Voici ce texte navrant qui nie que l'actualité ne s'invente pas:
    Étrange hiérarchie de l'information au 20 heures de France 2 hier soir [mardi 22/2].
    Résumons (et schématisons pour les besoins de la cause...].
    Après le tunnel attendu consacré au sujet « La France a peur de manquer d'essence », le présentateur Olivier Galzi enchaîne habilement sur un autre tunnel, « La France a peur de la grève des contrôleurs aériens et de se retrouver à poil pendant les contrôles dans les aéroports » avant d'attaquer un troisième tunnel, « La France a peur de la délinquance ». Attention, suivre bien c'est là que cela devient intéressant. [L'essentiel n'est-il donc plus que la France ait peur ?]
    Le 20 Heures de la Deux va alors enchaîner trois reportages. (A voir ici, à partir de 11.14')
    -Premier sujet: le démantèlement d'un réseau de trafiquants d'armes lourdes et de drogue. Et en prime, on a même droit à la présence de Jean-Claude Marin, le fameux procureur qui fait appel dans le procès Villepin. [Une chaîne objective l'aurait sans doute rayé du reportage] Apparemment, le président de la République n'ayant rien dit au sujet de la culpabilité de l'ancien ministre dans cette affaire, l'ancien Premier ministre est pour le moment hors de cause. Dans le lancement d'Olivier Galzi comme dans le commentaire du sujet, on insiste bien sur la présence d'un lance roquettes (Oulala! Ça fait peur!). [Où est le problème en effet: les journalistes de LePost les manipulent en effet au quotidien ! ]
    -Deuxième sujet : fort du premier reportage, France 2 nous sert une enquête sur les ménagères de moins de cinquante ans, mères de famille comme les autres, qui aident les trafiquants de drogue à droguer la belle jeunesse française. On a même droit à des sous-titres destinés à expliquer ce que sont le « shit » et la « beuh » (faut dire que le télé-spectatorat du 20 Heures de la 2 est constitué majoritairement de personnes de la classe d'âge qui vote Sarkozy à 65%). [Que faut-il en faire de tous ces pauvres imbéciles ? Bruno songe-t-ils aux riches heures de la liberté de la presse à la Pravda et aux camps soviétiques pour « citoyens vigilants » ?] Ces « nourrices » à la solde des odieux trafiquants de drogue seraient de plus en plus nombreuses nous dit-on (Oulala! Ça fait peur!) [Encore ?].
    -Troisième sujet: la campagne des régionales « qui vire à l'aigre dans le Val d'Oise avec la polémique autour de la tête de liste socialiste Ali Soumaré. Plusieurs élus de droite affirment je cite « qu'il est un délinquant multi-récidiviste » dixit Galzi. Et le 20 Heures de la 2 de nous présenter un reportage sur cette « polémique », reportage qui a le mérite de poser les bonnes questions sur la façon dont les accusateurs de Soumaré ont obtenu les « informations » le concernant, mais qui précise bien que le même Soumaré reconnaît avoir été condamné en justice il y a onze ans [Ah, tout de même!] (Oulala! Ça fait peur!).
    Après ce troisième sujet, Olivier Galzi enchaîne en annonçant la présentation des reportages à suivre. Coupure naturelle qui démontre bien qu'une séquence vient de se clore et que l'on va passer à autre chose, petite constatation qui démontre que dans l'esprit de la rédaction en chef du journal de 20 Heures [Arlette Chabot n'est pas oubliée...], il est naturel, logique, normal de traiter l'affaire Soumaré à la suite de deux sujets consacrés à des affaires de délinquance, trafic d'armes et de drogue, comme si cela allait de soi, partie intégrante d'une même séquence. [Il n'y a qu'au p'tit Bruno que ça pouvait venir à l'esprit: serait-il raciste, sans le savoir? ]
    A partir de là, et sans faire de procès d'intention à quiconque [ il va sans dire], l'alternative est simple.
    -Si ce choix de hiérarchisation de l'information est délibéré, volontaire, réfléchi, la conclusion s'impose d'elle même. C'est grave. C'est même si grave que je ne voudrais pas le croire. .
    -Si ce choix est spontané, involontaire, irréfléchi, là encore, la conclusion s'impose d'elle même. C'est très grave. Ce serait même à ce point grave, que je voudrais encore moins y croire.[D'ailleurs, il ne l'est pas Bruno cru]
    Cela signifierait en effet, que par réflexe, les responsables éditoriaux du 20 Heures de la 2 ont [auraient ?] cru qu'il était naturel, logique, normal de traiter l'affaire Soumaré après des sujets consacrés à des affaires de grosse délinquance. [Le comique de répétition n'est pas naturel, logique, normal chez le p'tit Bruno: c'est involontaire]
    On n'ose imaginer l'amalgame spontané : [« Oulala! Ça fait peur !» ] s'imposant dans le cerveau des rédacteurs en chef du 20 Heures de la 2 [le p'tit Bruno est à l'abri de tout amalgame ] et proposé comme tel aux téléspectateurs du 20 Heures: « drogue = trafic = délinquance = banlieue = immigré = noir = Soumaré = candidat PS ».
    Il y a des soirs comme ça, où l'on se demande si le 20 Heures de la 2 ne rediffuse pas le 20 heures du samedi 20 avril 2002...
    Par Bruno Roger-Petit [a.k.a. « Bruno cuit »]


    A cette Chabot, vaudrait-il mieux ce Bruno ? [« Oulala! Ça fait peur !» ]
    Le retour du McCarthysme peut attendre.

    Le p'tit ayatollah de LePost s'est déjà distingué pour son totalitarisme vertueux
    VOIR et ENTENDREVeuillez installer Flash Player pour lire la vidéo


    Ce type d'intolérant qui réclame des sanctions fait peur, en effet.

    Est-ce qu'en 1793 l'accusateur public Fouquet-Tinville "exprimait une opinion" au tribunal révolutionnaire lorsqu'il condamnait à mort pendant la Terreur ?

    Lire l'article de PaSiDupes sur la chasse aux sorcières menée par l'aimable Bruno Roger-Petit, écrivaillon sectaire du site indigent LePost.

    Régionales: Xavier Bertrand ne se laisse pas malmener par Antonin André

    Cette presse qui fait obstacle à la communication de la majorité

    On ne nous dit pas tout

    La presse se hérisse contre la nouvelle vague de nominations sous le signe de l'ouverture. Le verre à moitié vide ou à moitié plein ?

    L'opposition fait une fixation sur les deux nouveaux socialistes notoires distingués par le Président de la République, Michel Charasse et Didier Migaud qui leur échappent, mais fait l'impasse sur les UMP Hubert Haenel (sénateur du Haut-Rhin, né en 1942, ci-contre à gauche) et Jacques Barrot (1937, ancien vice-président de la Commission européenne, de 2004 à 2010, ci-contre, à droite) qui sont également l'un et l'autre reconnus pour leurs qualités et qui deviennent membres du Conseil Constitutionnel pourtant pareillement. 50/50, mais le compte n'est pas bon: la parité n'est pas respectée puisque l'arithmétique socialiste est en effet sectaire...
    La volonté de polémique de la gauche est-elle une nouvelle fois clairement démontrée ?

    X. Bertrand attendu sur Europe 1 comme au coin d'un bois

    Le secrétaire général de l’UMP a salué mardi la nomination de Michel Charasse (ci-contre, à gauche) et Didier Migaud, respectivement au Conseil constitutionnel et à la Cour des Comptes:
    VOIR et ENTENDRE
    Bertrand vante l’ouverture à gauche
    envoyé par Europe1fr. - L'info internationale vidéo.


    Pas de recroquevillement à l'UMP: la rupture, c'est l'ouverture et le rejet du sectarisme à la socialiste. Avec chacune des nouvelles nominations, le Président de la République montre qu'il est toujours le président de tous les Français et qu'il est déterminé à les rassembler.

    Affaire Ali Soumaré: la presse ne dit pas tout

    Le journaliste en est pour ses frais s'il voulait relancer la polémique
    "C’est avant tout un vrai sujet et un problème pour le Parti socialiste (...) Le Parti socialiste a toujours un problème avec la sécurité en France", a assuré Xavier Bertrand.

    L'arbre qui cache la forêt
    Cinq affaires judiciaires impliquant un candidat ne sont pas rien et une homonymie sur les cinq n'efface pas les quatre autres que le PS cherche à dissimuler sous une multitude de manifestation d'indignation de son réseau associatif. Lire PaSiDupes
    ENTENDRE l'ironie des excuses d'Axel Poniatowski, tête de liste UMP dans le Val-d'Oise.

    Il est revenu mercredi 24 février 2010 sur "l'affaire Ali Soumaré". Il regrette d'être « ringard » du fait qu'il n'est pas glorieux de n'être pas un délinquant en délicatesse avec la justice ( Propos recueillis par Jerôme Chapuis).

    Des journalistes agressifs en campagne

    Co-auteur de HolduPS et arnaques et trahisons, le journaliste Antonin André (ci-contre, à droite) d'Europe 1 se montre très incisif et à la limite de l'incorrection. L'ordinaire des nouveaux journalistes confond indépendance et vulgarité, qu'ils qualifient pompeusement d'« insolence », comme leur désinformation de « décryptage ». Les garanties de leur objectivité et de leur liberté se réduiraient ainsi à des manifestations de discourtoisie , voire d'agressivité envers leurs hôtes. Le savoir-vivre à la française et le respect des invités ne sont plus ce qu'ils étaient et la presse n'y est donc pas pour rien.
    Antonin André fait ainsi d'un entretien un débat et, en l'espèce, un règlement de comptes: il interrompt constamment son invité. C'est désormais un titre de gloire de 'se payer' un adversaire. La nouvelle génération de journalistes est préoccupée de faire passer un message politique et de se distinguer par un buzz sur le Net aux dépens de ceux qui ne les boycottent pas à la façon de Peillon-la-honte, puisque la plupart des autres responsables politiques sont respectueux. Davantage intéressé par ses questions que par les réponses de son invité, A. André fut donc un hôte classiquement insolent ne manifestant aucun intérêt pour le point de vue de l'UMP et la personne de son interlocuteur.

    A l'approche du virage de la cinquantaine, Bruno Roger-Petit considère qu'il est urgent d'être plus que jamais décalé et insolent et LePost lui convient donc à merveille. Ce site misérable donne, on le sait, dans le jeunisme en sacrifiant, consciemment ou non, l'orthographe et en relâchant la langue française pour faire plus jeune et populaire. Dans le plus pur jeunisme, BRP, adolescent attardé, écrit donc: « Manque de pot pour lui, Antonin André ne s'est pas dégonflé et a refusé de tomber dans le panneau tendu par Bertrand: « Méchant journaliste qui m'empêche de parler et fait les questions et les réponses »... Objectif de la manoeuvre: présenter aux auditeurs le journaliste comme un méchant agresseur (vieux classique) et l'amener à se contenter de la réponse à la con en langue de teck concoctée dans les officines des communicants de l'UMP. Un grand moment d'intimidation en live. A voir et à revoir... » A vous de juger !
    Il faut encore savoir que Bruno Roger-Petit a également demandé des sanctions contre Eric Zemmour (lire PaSiDupes)

    Quand l'information tombe entre les mains de voyous, la démocratie en prend un coup.

    Antonin André n'est qu'un exemple parmi bien d'autres.
    Ainsi, dans la presse écrite, Nicolas Totet de l'hégémonique Courrier Picard s'en prend-il régulièrement à Xavier Bertrand pour exister dans l'Aisne, alors qu'il est sans rival dans la Somme.
    VOIR et ENTENDRE comment Nicolas Totet (Courrier Picard)« profite de son temps »:


    Débat musclé entre Xavier Bertrand et un journalisteenvoyé par publicsenat

    A la radio, France Info fournit d'autres occasions quotidiennes de militer avec l'opposition et d'abaisser la profession. Outre que cette radio de service public donne au doucereux Jean Leymarie des heures de parti-pris politique insidieux, et sans parler de Sophie Auvigne qui à longueur de plage horaire "colle des affiches" militantes de son lourd pinceau, France Info a récueilli Nicolas Poincaré (ci-contre, à droite), pour un rééquilibrage des styles, quand Christophe Hondelatte a repris la tranche 18h - 20h en semaine sur RTL. Speedé, inarticulé et confus au micro, Poincaré (lien PaSiDupes) prend son pied chaque matin à baver de sa voix mouillée sur les masochistes de la majorité qui acceptent de se faire rudoyer pour tenter de faire passer leurs idées sur le service public. Avec lui, la matinale de France Info atteint les limites de la veulerie radiophonique.

    Il est en outre permis de s'interroger sur le sérieux des désignations de candidats socialistes

    Les électeurs qui font confiance a priori en ces candidats que les partis choisissent pour les représenter sont fort déçus et ne savent plus à quel parti se vouer si celui qui s'attribue toutes les vertus est pris en défaut. Ils vont pourtant devoir décider sur la désinformation qui lui est imposée... L'abstention sera certainement renforcée par de telles négligences, mais le PS n'est jamais pris au dépourvu et sait d'expérience comment réagir par l'indignation.

    Mais s'il était élu, Ali Soumaré échapperait-il à une ou plusieurs condamnations ? S'il avait le sens de l'honneur et décidait de se retirer,
    quelles seraient les conséquences sur le vote des électeurs qui lui auraient fait confiance ? Lien PaSiDupes sur ses cinq affaires judiciaires

    Moscovici, candidat en 2012, cajole l'affreux Jojo Frêche

    Que Frêche soit candidat à l'Elysée règlerait la question !

    Tous le pantalon sur les chevilles pour Frêche

    Le député PS Pierre Moscovici a défait la ceinture
    Mosco a souligné mercredi 24 que la mise à l'écart des 59 socialistes figurant sur les listes de Georges Frêche en Languedoc-Roussillon était "une mesure conservatoire, temporaire" et qu'après les élections régionales, viendrait le temps de "la réconciliation". Les préférences de Moscovici ne sont un secret pour personne: lire PaSiDupes (lien)

    Mardi soir, lors du bureau national qui a placé hors parti les 59 candidats socialistes pro-Frêche, "j'ai plaidé plutôt pour la modération, à titre personnel", a pris soin de faire savoir le Pierrot Moscovici sur France Info.
    "Ce que je voulais, moi, c'est qu'on tire les conséquences du geste qui a consisté à mettre Hélène Mandroux tête de liste et donc qu'on considère que ceux qui sont colistiers de Georges Frêche se mettent en dehors du parti pour quelques mois. Mais j'insistais beaucoup pour qu'il y ait ensuite, après les élections, une réconciliation", a-t-il expliqué.
    "J'ai été entendu [de Frêche ?], c'est-à-dire qu'on prend une mesure conservatoire et temporaire", a-t-il ajouté, estimant qu'"il faut maintenant jouer l'apaisement".
    "Il faut que sur le terrain se déroule une campagne, qu'on voit qui d'Hélène Mandroux ou Georges Frêche convainc les socialistes et puis, après les élections, on fera le point calmement, sereinement", a conclu le vertueux pacificateur.
    Avant la désignation du candidat socialiste, en tout état de cause...
    Moscovici réclame juste un peu de douceur préliminaire ...

    Moscovici se mettra volontiers sur la ligne de départ socialiste dans la course à l'Elysée.


    Sa mansuétude à l'égard de l'antisémite du Languedor-Roussillon s'explique par son cruel manque de soutien à la réalisation de ses ambitions. En vendant son âme (?) à Frêche, il gagne du même coup les supports du Dijonnais Rebsamen et du lyonnais Collomb.
    Au panier de la ménagère Moscovici, il manquait la saucisse de Lyon et la moutarde de Dijon. Il fournit le cornichon ...

    mardi 23 février 2010

    Le PS nous fiche tous, les camarades socialistes inclus

    La presse socialiste diffuse une affaire gardée au chaud

    Rue 89 publie un article qui arrive à point nommé

    Le jour où le Conseil des Ministres irrite la droite majoritaire et met l'opposition dans l'embarras en nommant l'ancien président socialiste de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, le fabiusien Didier Migaud président de la Cour des Comptes, le site Internet de Libération publie justement un rapport vieux de plusieurs semaines :

    Didier Migaud épinglé par sa chambre régionale des comptes

    Frais émoulu président de la Cour des Comptes en remplacement de Philippe Séguin, le député socialiste Didier Migaud est la cible de ses camarades socialistes qui n'apprécie pas l'ouverture... Leur presse dévouée publie donc dans la foulée de sa nomination un rapport que la chambre régionale des comptes (CRC) de Rhône-Alpes a rendu il y a pourtant quelques semaines. Ce rapport pointe malencontreusement la gestion parfois hasardeuse du patron socialiste de la Commission des Finances de l'Assemblée, et en particulier "le recours à des emprunts toxiques et les finances dégradées de la communauté d'agglomération de Grenoble, qu'il préside. Joint par Rue89, Didier Migaud conteste cette interprétation.

    Ce rapport définitif (il tient compte des observations du président) pour les années 2004-2007, dont Rue89 a obtenu copie, est toujours confidentiel puisque Didier Migaud ne l'a pas encore communiqué aux élus de l'agglomération, comme la loi l'y oblige."
    Texte du rapport (pdf)

    [A noter que, la même semaine, le PS s'indigne que la confidentielle ordonnance pénale concernant Ali Soumaré, sa tête de liste dans le Val-d'Oise, soit elle aussi à disposition de qui la veut...]

    "La dernière réunion, prévue le 29 janvier, a d'ailleurs dû être reportée en raison de cette irrégularité, justifiée en séance par une erreur technique. (Téléchargez le rapport de la CRC de Rhône-Alpes)

    Le rapport souligne de nombreuses qualités dans la gestion de Didier Migaud en tant que président de la communauté d'agglomération de Grenoble Alpes Métropole, communément appelée « la Métro ».

    Ainsi, « s'agissant de la fiabilité de ses comptes, la démarche innovante adoptée et inspirée de la LOLF [dont Migaud est considéré comme l'un des “pères”, ndlr] peut être notée, de même que les taux satisfaisants de réalisation des prévisions budgétaires ».

    Des procédures « doivent être peaufinées »

    Mais la synthèse de début de rapport embraye immédiatement sur plusieurs choses qui « doivent être peaufinées ». Attention, langage technique :

    « Les procédures de transfert de charges et de produits entre budget principal et budgets annexes, de reprise des résultats, du rattachement des charges et produits à l'exercice, des restes à réaliser, d'établissement d'un inventaire des biens exhaustifs, et, plus au fond, les estimations des charges transférées. »

    En résumé, et en langage plus simple : le président de communauté d'agglomération Didier Migaud a, au mieux, fait preuve de légèreté dans le rendu comptable de sa gestion et, au pire, usé d'artifices. Ce que réprouverait certainement le premier président de la Cour des comptes, Didier Migaud.

    337 millions d'euros de dettes

    Plus grave : l'agglomération de Grenoble, qu'il préside depuis 1995, est dans une situation financière très alarmante qui s'est dégradée ces dernières années, selon la chambre :

    « L'encours de la dette a cru de 54,5%, passant de 218 354 776 euros au 31 décembre 2004 à 337 513 615 euros au 31 décembre 2007, ce qui place la Métro, en terme d'encours de la dette par habitant par rapport aux recettes réelles de fonctionnement, dans une situation particulièrement défavorable, comparée aux autres communautés d'agglomération de même taille. »

    Fin 2006, la dette par habitant dans l'agglomération de Grenoble était de 774 euros, contre 159 euros à Saint-Etienne, 130 euros à Toulon, 111 euros à Rennes et 30 euros à Rouen.

    « Un fort endettement que le rythme soutenu des investissements n'a pas permis de ralentir », synthétise la chambre.

    Migaud : comparer ce qui est comparable

    Joint par Rue89 mardi après-midi, Didier Migaud -qui devrait démissionner dans les prochaines heures de la présidence de la Métro- souligne que la capacité de désendettement de la communauté a été ramenée à 9 ans environ (entre 10 et 11 ans selon sa réponse au rapport), et surtout, que les différentes agglomérations ne sont pas forcément comparables :
    « Toutes n'ont pas le même champ de compétence, entre transports, assainissement, eau… De plus, toutes n'ont pas la même façon d'élaborer leurs comptes, entre le budget principal et les différents budgets annexes. »

    Cette remarque (absente de la réponse de Migaud à la chambre) est surprenante : il est difficile de croire que pour contrôler la collectivité dirigée par celui qui était président de la commission des finances de l'Assemblée nationale, la CRC ait dépêché un magistrat capable de comparer des choux avec des navets. Mais c'est possible.

    26,3% de la dette est constituée d'emprunts « toxiques »

    Pour pallier cet endettement (notamment dû à la construction d'un grand stade), Didier Migaud (à qui le conseil de communauté délègue chaque année sa compétence en matière de « couverture du risque de taux ») a eu recours à une forte proportion de produits financiers structurés, connus depuis quelques années sous le vocable de « produits toxiques » : 26,3% de l'encours de la dette, soit 88 802 976,30 euros, selon l'annexe au compte administratif 2007.

    La chambre décrit le fonctionnement de ce type de produits, qui a déjà causé des problèmes à différentes collectivités locales, de gauche comme de droite :
    « Lorsque le taux d'intérêt payable dans l'année a une incidence sur la comptabilité de l'exercice, il est tentant de renégocier un prêt chaque fois que le taux est susceptible d'augmenter, quitte à accepter un niveau de risque plus important, mais qui n'a pas d'incidence directe au point de vue comptable. »

    Selon Didier Migaud et le directeur général des services (DGS) de la Métro, Serge Darmon, lui aussi joint par Rue89, le taux de produits réellement « toxiques » est beaucoup plus faible, « si l'on se base sur la définition donnée dans la charte Gissler ».

    Un « hold up » de 3 millions d'euros, selon un opposant

    La dette s'élève aujourd'hui à 350 millions d'euros, sur lesquels « seul un emprunt de 17 millions d'euros constitue un risque qui peut être relativement élevé », affirme Serge Darmon. « Le fait qu'il y ait un risque ne signifie pas forcément qu'il y aura perte pour le contribuable », ajoute-t-il. En retenant la définition de la chambre pour les « produits structurés », leur taux serait aujourd'hui de 19% environ.

    La chambre pointe un versement de 3 millions d'euros effectué en 2006 par la régie de l'assainissement vers le budget principal de la Métro. Ce versement « est fondé sur deux délibérations contradictoires », constatent les rapporteurs. Pour Raymond Avrillier, ancien vice-président (écologiste) de la communauté, il s'agit là d'un « hold-up ».
    « Le versement s'est effectué en toute transparence », répond Didier Migaud, qui souligne que si ça n'avait pas été le cas, il n'y aurait pas pu y avoir de recours devant le tribunal administratif…

    Le nouveau plus haut magistrat comptable de France, qui sera chargé de mettre en œuvre la réforme du contrôle des finances locales annoncée par le gouvernement, ajoute que « même la certification des comptes de l'Etat se fait avec des réserves. Il faut tenir compte de ces réserves, qu'il ne faut pas instrumentaliser politiquement ».

    Il vise là Raymond Avrillier, qui trouve Didier Migaud « très compétent » :
    « Je suis en bon terme avec lui. Mais il y a eu un certain nombre de tours de passe-passe, en particulier sur les années 2006, 2007 et 2008. »

    Conformément à la loi, la chambre régionale des comptes a transmis le rapport au préfet et au trésorier payeur général de l'Isère. Si le premier a bien fait son travail, l'Elysée ne pouvait pas ignorer que Didier Migaud n'a pas fait preuve de qualités de comptable exemplaires avant sa nomination au poste (irrévocable) de premier président de la Cour des comptes."

    Régionales: Maxime Gremetz (PCF dissident), démocrate violent, a encore vu rouge

    La gauche donne à la campagne une tournure « nauséabonde »
    Gremetz ici lors du bras d'honneur de Mamère à la majorité

    Le colérique Maxime Gremetz reste à 70 ans une personnalité hystérique controversée pour ses insultes verbales et ses violences physiques récidivantes.

    => En 1998, il fut condamné pour avoir lancé sa voiture dans la foule lors d'une cérémonie officielle, heurtant un gendarme, avant d'interpeller vivement Charles Baur, président du Conseil régional de Picardie, ainsi que le maire d'Amiens, Gilles de Robien, sur la gratuité d'une autoroute (A16, partie ouest entre Amiens Nord et Dury). C'est le président de la droite réactionnaire, Jacques Chirac, qui gracia le communiste en 2002 .

    => En séance du Conseil régional de Picardie du 28 avril 2008, il agressa le socialiste Gilles Seguin qu'il bouscula et fit chuter. Le SAMU a du intervenir pour porter secours à l'élu socialiste et une plainte a été déposée contre Maxime Gremetz. Lire PaSiDupes
    VOIR et ENTENDRE



    Le coup de folie de Maxime GREMETZ (EXCLUSIF)
    envoyé par picardiepolitique


    =>
    Reprochant au groupe communiste de l'Assemblée nationale de le priver de parole, il saccagea aussi le bureau de Daniel Paul.

    => En novembre 2009, Gremetz essaya par la force d'intervenir en direct sur le plateau du journal de France 3 Picardie. Défenseur des chasseurs de la Somme, il est taxé de « populisme » par les uns, apprécié par d'autres pour son franc parler même s'il s'emporte facilement. Un sondage de popularité de septembre 2006 le met en tête des bonnes opinions dans sa circonscription, confirmé par ses bons scores électoraux.

    => Février 2010, Maxime Gremetz tenta encore de participer de force à un débat sur France 3
    Le député communiste dissident de la Somme, tête brûlée de liste aux élections régionales en Picardie, a tenté à nouveau vendredi 19 février de pénétrer de force dans les locaux de France 3 à Amiens, pour participer à un débat auquel il n'était pas invité, a-t-on appris samedi auprès de la chaîne.

    Nostalgique de l'époque soviétique
    , le démocrate Maxime Gremetz, "venu avec une dizaine de sympathisants, voulait absolument être invité à une des émissions qu'on fait avant le premier tour (des élections régionales)", a indiqué Jean-François Karpinski, délégué régional de France Télévisions en Picardie.

    Le député a tenté, avec ses gros bras, d'entrer par la force dans les locaux
    , mais a trouvé porte close, selon France 3, qui précise qu'"il n'y a pas eu de heurts, d'échanges de coups, pas de plainte déposée" et évoque "un incident de campagne".

    "On a voulu faire respecter le pluralisme",
    s'est défendu -de bonne foi- Maxime Gremetz, qui a rappelé qu'en 2004, sa liste était au deuxième tour des régionales et a déploré que les Verts et le Modem, qui n'avaient pas de liste (en 2004), avaient été invités, contrairement à lui, à ce débat.

    Le totalitaire Gremetz se croit indispensable
    "Je lui ai dit qu'il n'était pas invité dans cette émission-là. Il a été invité la semaine dernière, il est invité samedi prochain dans une autre", a ajouté M. Karpinski, selon qui le député "voulait absolument débattre face au président de la région Claude Gewerc (PS) qui, lui, ne veut pas débattre avec Gremetz".

    => Bien qu'il ne s'agisse que d' "un incident de campagne", l'enregistrement de l'émission a néanmoins dû être reporté à une date ultérieure.

    Entre Vincent Peillon-la-honte qui refusa de participer à un débat sur France 2 et Maxime Grémetz qui s'impose sur France 3, à la façon de Désirdavenir Royal qui elle aussi était indésirable à Dijon, sans oublier les boycottages des travaux on ne sait plus à quoi s'attendre de la part de la gauche, alors que le « nauséabond » Benoît Hamon passe de plateau de télévision en studio de radio, répétant à qui veut l'entendre (et ré-entendre), que "le climat qu'est en train d'installer la droite est un climat insupportable".

    Ali Soumaré "peut servir de modèle positif", selon le CRAN

    Et les affreux Jojo Frêche et Bové, alors ?

    Aux candidats de la diversité tout est permis

    Le Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN) a appelé mardi "à cesser les dérapages contre les candidats de la diversité en Île-de-France".
    Le CRAN dénonce la "vindicte" du maire de Franconville, Francis Delattre, qui avait qualifié la tête de liste socialiste du Val-d'Oise de "délinquant multirécidiviste chevronné", et s'indigne de "l'exploitation politicienne des erreurs passées" (d'Ali Soumaré, ci-contre). Lire PaSiDupes

    La question des sources ne fait débat que si les bénéficiaires sont des élus UMP

    "Il y a des règles à observer: on ne met pas sur la place publique des accusations sans en apporter la preuve", a fustigé François Hollande, invité lundi matin sur Canal+.
    En revanche, la rétention d'information est légitime lorsqu'une Cour régionale des Comptes épingle un élu socialiste. Mais Didier Migaud apprend à ses dépens que la presse militante lève la protection -dont il bénéficie en tant que socialiste- dès l'instant où il accepte de la droite une nomination. Cf. PaSiDupes et Rue89 à propos de sa désignation à la présidence de la Cour des Comptes.

    Les Français de la diversité sont au-dessus des lois

    "Ali Soumaré, précisément parce qu'il a un passé difficile, est un symbole qui peut servir de modèle positif et d'exemple à la jeunesse", estime on ne peut plus librement le CRAN.

    Soumaré, avatar de la repentance coloniale ?

    Des menaces ?
    "Le Cran appelle à cesser les dérapages contre les candidats de la diversité en Île-de-France. A défaut, il se réserve le droit d'engager des poursuites sur le fondement de l'incitation à la haine raciale".

    Une indulgence partisane
    Ali Soumaré est dispensé de regrets ou d'excuses. Mieux Maître Mignard considère que Soumaré a commis -à 18 ans- de simples « erreurs de jeunesse »... Et, dix ans plus tard, la tête de liste socialiste d'origine malienne n'exprime aucune repentance: elle est réservée aux colonisateurs.

    Le PS fait de l'intimidation
    Les socialistes désinforment l'opinion avec la complicité de la presse engagée, et pas seulement en période de campagne des Régionales.

    => Sorti de son ronron, Huchon, le chef de file PS en Ile-de-France, avait estimé, à propos des pièces judiciaires et policières, que "franchement ça m'interroge. Normalement, elles ne sont pas légalement accessibles".

    => Faux, lui a en substance répondu Maître Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP, lundi matin sur RTL. "Il suffit d'aller sur internet" ou "au greffe du tribunal" pour prendre connaissance du passé judiciaire d'Ali Soumaré, parlant même de "documents très précis" et rejetant, lors d'un point presse, toute idée d'éventuelles complicités, judiciaires ou policières, quant à l'origine de ces fameuses informations.

    => Face à la presse, Frédéric Lefebvre en a également profité pour mettre la pression sur le PS, responsable de la désignation du porte-parole de la population de Villiers-le-Bel lors du décès des deux adolescents sur une même mini-moto qui a percuté un véhicule de police (lire PaSiDupes).

    => "Il faut que les socialistes aujourd'hui fassent la vérité sur cette affaire", a-t-il martelé. Et il serait préférable que ce fût avant le scrutin. "Je crois qu'il faut qu'on sache où est la vérité", avait avant lui souhaité Valérie Pécresse, tête de liste UMP en Ile-de-France, qui semble toutefois vouloir calmer le jeu dans cette affaire à trois semaines du 1er tour.

    Les électeurs connaîtront-ils le casier judiciaire du candidat socialiste
    ?
    En effet, quoi que prétende maître Mignard, un candidat n'est pas une personne comme les autres.

    Signe que l'affaire embarrasse le PS, François Hollande s'est montré circonspect

    "En l'occurrence aucune preuve n'a été apportée" contre Soumaré, hasarde-t-il, alors qu'il a été condamné en justice pour la plus ancienne de ses affaires.
    => Prudemment, l'ex-premier secrétaire du PS ajoute d'ailleurs: "Je ne sais rien de cette histoire (...) C'est un problème, bien sûr, et je pense que si c'était avéré, il y aurait des suites à donner, a louvoyé l'ancien premier secrétaire du PS.

    Le zèle de la maire de Lille (PS) en faveur des musulmans est-il équitable ?

    La préférence socialiste du communautarisme arabe interpelle

    L'opportunisme dans toute sa splendeur républicaine et laïque

    Martine Aubry est la seule femme politique a fréquenter les meetings politiques de la ligue islamique du Nord et une manifestation féministe.
    En fait-elle autant pour la communauté juive ou les gauchers des deux sexes ?

    La maire de tous et toutes ?
    Le premier secrétaire du PS, Martine Aubry, est au nombre de ces maires de villes qui, par facilité et générosité mal placées, se sentent menacés par la transformation du paysage politique du fait de la croissance démographique de la population d'origine étrangère. Comme les autres, et parfois dans la surenchère, la Ch'tite Aubry, épouse Brochen, se laisse aller à dénaturer les valeurs de la république pour être dans l'air du temps et à l'heure des rendez-vous électoraux, au risque de céder à la démagogie électoraliste et au communautarisme irresponsables.

    => La Grande mosquée de Lille (mosquée Al-Imane) est gérée par la Ligue islamique du Nord et accueille, d'une part, l'Institut culturel Al-Imane et, d'autre part, le lycée musulman Averroès (lien PaSiDupes) qui a ouvert en septembre 2003.

    VOIR et ENTENDRE ce document video qui vaut plus que de longs discours:


    Autres vidéos dans la même tonalité: lien

    On aura noté au passage que la brillante 'philosophe' (lien) Elizabeth Badinter est l'une des « cinq'z-intellectuelles » (lien)...

    lundi 22 février 2010

    Régionales: l'effet d'annonce de Désirdavenir Royal sur Heuliez

    Une mutuelle entrerait au capital à la place du leurre BKC

    L'amère de Melle a-t-elle tué l'ours dont elle vend la peau ?

    La présidente socialiste sortante de la région Poitou-Charentes, Sa Cynique Majesté Royal, a annoncé qu'une « grande entreprise mutualiste de Niort » avait « l'intention d'entrer au capital d'Heuliez », l'équipementier automobile en grande difficulté, malgré tous les coups de menton de la présidente de région. « Une grande entreprise mutualiste de Niort va annoncer mercredi son intention d'entrer au capital d'Heuliez », a assuré la candidate sortante en campagne, lors de l'enregistrement dimanche soir 21 février d'un débat télévisé sur France 3 avec Dominique Bussereau, le chef de file de l'UMP pour les élections régionales en Poitou-Charentes.


    L'amère de Melle a eu les yeux plus gros que le ventre

    « Depuis que la région [ce n'est déjà plus sa responsabilité...] a décidé d'entrer dans le capital d'Heuliez, j'ai toujours dit qu'il faudrait élargir le pacte d'actionnaires », a nuancé la manipulatrice d'opinion. La région qu'elle dirige a versé 5 millions d'euros au capital de la société. Sa Cynique Majesté Royal réalise aujourd'hui que c'est de l'argent à fonds perdus.

    L'esbroufe n'a pas fonctionné
    Ni son amorce de pompe ni ses annonces ne peuvent éviter la liquidation judiciaire à l'équipementier, qui compte environ 600 salariés.
    La téméraire présidente socialiste cherche toujours un repreneur pour remplacer le groupe BKC (Bernard Krief Consulting), désigné l'été dernier par le tribunal de commerce de Niort. BKC, seul candidat à la reprise, s'était alors engagé à apporter 16 millions d'euros pour sauver Heuliez, mais, après maintes promesses, celui-ci n'a apporté qu'un titre de créances et pas de cash. Le pacte d'actionnaires a été signé et les fonds devaient être libérés début janvier 2010.

    La grenouille du Marais poitevin s'était gonflée comme un boeuf
    En juillet 2009, Sa Cynique Majesté Royal, présidente socialiste de la région Poitou-Charentes, avait pompeusement déclaré que cette reprise d'Heuliez était "une belle victoire". L'a battue des élections présidentielles s'était vantée d'une contribution de la région Poitou-Charentes qui proposait d'entrer au capital de l'équipementier automobile à hauteur de "5 millions d'euros".

    Elle avait bien parlé
    "C'est la démonstration qu'avec du courage, de l'obstination, du travail, des solutions existent et qu'un autre modèle économique est possible, c'est un message d'espoir pour toutes les entreprises françaises qui sont imaginatives, comme ici pour la voiture électrique et propre", avait assuré Sa Cynique Majesté susnommée, au cours d'une conférence de presse.

    L'amère Royal en a rabattu
    Depuis, de nombreuses rumeurs circulent sur les solutions qui pourraient être adoptées. La dernière faisait état d'un placement de la société sous mandat ad hoc, une procédure confidentielle destinée à prévenir les difficultés financières d'une entreprise.

    Rumeurs et effet d'annonce
    L'équipementier doit être sauvé de la liquidation judiciaire un repreneur est trouvé pour remplacer le groupe BKC (Bernard Krief Consulting), désigné l'été dernier par le tribunal de commerce de Niort. BKC n'a apporté qu'un titre de créances et pas de cash.

    Depuis, de nombreuses rumeurs circulent sur les solutions qui pourraient être adoptées. La dernière faisait état d'un placement de la société sous mandat ad hoc, une procédure confidentielle destinée à prévenir les difficultés financières d'une entreprise.

    La candidate socialiste fait croire qu'elle se décarcasse

    Elle a refusé de citer un nom de mutuelle.
    Il faut dire que les mutuelles florissantes basées à Niort se font de plus en plus rares. Il reste la MACIF et la MAAF.
    La MAIF est en effet amputée de la plupart de ses activités. Ce qui en reste, Maif-Habitat n'est pas en capacité de dédommager les clients de la MAIF, de payer ses fournisseurs et de dédommager ses actionnaires, mais a en revanche les moyens de faire de la pub sur France Info, si toutefois le service public ne lui accorde pas des conditions contraires à une concurrence loyale avec le secteur...

    Attendons toujours mercredi
    Par cette annonce, la candidate sortante aura cherché à donner l'illusion qu'elle ne fait pas que "remuer les lèvres". Si la mutuelle pressentie ne se montre pas solidaire, il ne lui restera qu'à accuser le gouvernement... Ca elle sait faire !

    Régionales: les démêlés judiciaires d'Ali Soumaré, enjeu de campagne

    Huchon fuit bravement le débat

    Duel Huchon-Pécresse sur le cas Soumaré

    Le président PS de la région Ile-de-France et son adversaire UMP se sont affrontés dimanche soir sur France 3 sur l'affaire Ali Soumaré, tête de liste socialiste en délicatesse avec la justice et qualifié par des candidats UMP de «délinquant multirécidiviste chevronné». Lire PaSiDupes

    L'autruche Huchon exerce son « droit de retrait » du débat

    La Ch'tite Aubry ne connaît jamais rien aux problèmes et affirme toujours soit qu'elle n'a pas entendu soit qu'elle n'a pas encore lu ! Lire PaSiDupes sur la couverture Hollande (lui non plus ne sait pas de quoi il parle).

    Peillon-la-honte
    a posé un lapin aux télespectateurs de France 2 (lire PaSiDupes) et voilà Ronron-Huchon qui fuit le débat.

    Comme en janvier 2010 (lire PaSiDupes), Huchon se dérobe
    «Je ne participerai pas à une campagne de caniveau car je sais trop bien à qui cela profite: populisme, racisme, démagogie...», s'est bravement justifié Jean-Paul Huchon, sous les protestations de Valérie Pécresse.
    En savoir plus dans PaSiDupes sur le machisme de Huchon et sa "campagne de caniveau"

    Valérie Pécresse combat le dévoiement socialiste de la campagne
    «Soit ces condamnations sont vraies et à ce moment-là, c'est choquant. Mais je ne le sais pas», a déclaré la candidate UMP, dans l'attente d'une décision de justice. «Je crois qu'il faut qu'on sache où est la vérité. Et replacer tout cela dans le contexte d'une campagne dans le Val-d'Oise très violente, où l'honneur de M. Delattre a été attaqué», a ajouté Valérie Pécresse. Lire PaSiDupes

    Patrick Karam ne connaît Jean-Paul Huchon que trop bien

    Jean-Paul Huchon
    , le président PS du Conseil régional d'Ile-de-France depuis 1998, représente «l'homme politique dans tout ce qu'il a de détestable» aux yeux de Patrick Karam, numéro deux de la liste UMP à Paris. Il a déclaré dimanche sur RCJ que «chez les hommes politiques, il doit y avoir une éthique, une morale de la parole» et «Huchon fait le contraire».
    «Huchon, en 2004, a pris un certain nombre d'engagements, 80% n'ont pas été tenus et je ne supporte pas ça», a ajouté Patrick Karam à propos du président du Conseil Régional, candidat à un 3e mandat consécutif, après 12 années.

    Lire PaSiDupes à propos de l'incurie du président socialiste de région dans les violences lycéennes à Vitry-sur-Seine