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lundi 1 septembre 2008

Mauroy, toujours hostile à Aubry, s’oppose à une alliance avec Fabius

Gros Quinquin fait une colère
Pierre Mauroy fait savoir que certains rapprochements esquissés lors de l'université d'été du PS à La Rochelle, ne lui «plaisent pas», notamment celui entre Martine Aubry et Laurent Fabius. Il aurait probablement fallu que cette alliance recueille l'aval du baron régional ch'tit.

A France Soir, l’ancien Premier ministre déclare : «J'ai lu dans la presse les rapprochements qui semblent s'opérer entre les uns et les autres, et le moins que je puisse dire, c'est que tout cela ne me plaît pas. Il y a des spécialistes des opérations tordues, et je pense que c'est totalement contraire à l'esprit du rassemblement dont nous avons besoin», affirme l'ancien maire de Lille qui se dit «vraiment en colère».
Dans son souhait de couper les ailes de la Ch'tite Aubry , qui lui a ravi sa place à la mairie de Lille, il livre sa sentence et estime qu'ele «serait une bonne première secrétaire», et se prétendant «toujours prêt à la soutenir», il considère toutefois qu'il n'est «pas possible de réaliser cette alliance avec les fabiusiens, ou en tout cas pas au début»…

Le gros quinquin entend toujours tirer les ficelles
«Je suis davantage favorable à une majorité réunissant le premier secrétaire du PS (François Hollande), le maire de Paris (Bertrand Delanoë), le maire de Lyon (Gérard Collomb), le président du Conseil général des Bouches du Rhône (Jean-Noël Guérini) et Pierre Moscovici... Une alliance à laquelle peuvent participer les fabiusiens», consentirait-il.
Du haut de son beffroi, Gros Quinquin essaie donc de redistribuer les cartes.
Mais il ignore la Dame de pique, qu'il semble avoir laissée au pot. Pas de pot, pour celle qui semble faire sa vie en Italie...

Tout sauf Fabius et Aubry ?
Le gros Quinquin est favorable à une liste unique...
Selon l'ancien Premier ministre socialiste, «il faut tout faire pour éviter l'affrontement de deux blocs au congrès de Reims, sinon nous allons tout droit vers la répétition du congrès de Rennes, ce qui serait catastrophique» pour le PS. Que Fabius et Aubry se dissolvent dans la masse.
Mauroy n'accepterait-il donc pas
le pluralisme démocratique ?

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