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mardi 27 novembre 2007

Banlieues: des 'casseurs' sont des assassins

On dit les émeutes pires qu'il y a 2 ans
François Fillon, le Premier ministre, a rendu visite aux policiers blessés la nuit dernière, parfois par balles!
L'usage des armes à feu est nouveau et fait craindre le passage de la violence urbaine à la guérilla urbaine, par des groupes organisés. La presse persiste pourtant à appeler les 'tueurs' des 'casseurs'. Plus de 120 policiers ont été blessés en deux nuits seulement, alors que trois semaines de trouble en 2005 avaient fait 200 blessés.
Après la deuxième nuit d'affrontements à Villiers-le- Bel, au nord de Paris, le Premier ministre accompagné de Michèle Alliot-Marie, la ministre de l'Intérieur, a promis de renforcer la sécurité pour ce soir : "Pendant que la justice travaille, rien ne justifie les violences de hier soir. Elles sont inacceptables, intolérables. Les habitants de Villiers-le-Bel ont droit à la paix, la sécurité, la justice va travailler pour eux."
Les révolutionnaires ont fondu sur la bibliothèque et l'école Louis Jouvet de Villiers-le- Bel. Un riverain est bouleversé : "S'en prendre à une bibliothèque, qui est un lieu de savoir, de connaissances... C'est une action complètement inexcusable... C'est navrant, c'est bête."
Non, c'est la rentrée sociale permanente…

1 commentaire:

  1. Les criminels et autres délinquants qui mettent le feu aux cités doivent être sévèrement châtiés.
    Car ce ne sont pas des révolutionnaires mais des truands et des assassins.
    Je ne suis pas sarkozyste, ni même socialiste mais simplement de gauche mais dans ce cas-là je soutiens le gouvernement dans ses efforts pour livrer les coupables à la justice.

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